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Article CommentaryCommentaire

Maximiser l’expérience des remplaçants

Pauline Pariser, Christina Biancucci, Sarah Naomi Shaw, Trudy Chernin and Esther Chow
Canadian Family Physician December 2012; 58 (12) e688-e691;
Pauline Pariser
Médecin-chef à l’Équipe de santé familiale de Taddle Creek et professeure adjointe au Département de médecine familiale et communautaire de la University of Toronto en Ontario.
MASc MD CCFP FCFP
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  • For correspondence: paulinepariser@sympatico.ca
Christina Biancucci
MD CCFP
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Sarah Naomi Shaw
MSW EdD MD CCFP
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Trudy Chernin
MD CCFP FCFP
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Esther Chow
MD CCFP
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Je reviens de vacances et mes secrétaires me rapportent que la remplaçante a vu les patients dans des délais opportuns, à répondu aux messages (en particulier aux demandes urgentes) et a rempli les ordonnances efficacement. Nos infirmières confirment avoir entretenu des relations de réciprocité dans leur travail avec la remplaçante.

Mon casier de dossiers à suivre est organisé de manière à mettre en évidence les résultats de tests anormaux et à préciser le suivi à faire. Les cas sont bien documentés, en particulier la façon de régler les problèmes complexes. Les patients me font des commentaires positifs concernant son approche centrée sur le patient. Je ne trouve aucun résultat de tests importants passés inaperçus. Le temps consacré à orienter la remplaçante et à passer en revue le contrat en a valu la peine.

Les médecins remplaçants au Canada rendent de précieux services aux médecins de famille qui souhaitent assurer la continuité des soins pendant qu’ils prennent des vacances, des congés parentaux ou durant d’autres absences pour raisons professionnelles. Les profils démographiques changeants ont des répercussions sur le recours plus soutenu aux services de substituts. Les femmes représentent plus de la moitié des effectifs de médecins de famille de moins de 35 ans et le nombre de médecins plus âgés qui envisagent la retraite au cours des 2 prochaines années est considérablement à la hausse1,2. Les femmes médecins de famille travaillent moins d’heures que leurs homologues masculins, en partie en raison des congés de maternité, mais aussi à cause d’une préférence pour un meilleur équilibre entre le travail et la famille1. Les modes de pratique changeants, davantage axés sur les soins primaires en équipe, exigent aussi que les remplaçants travaillent en collaboration. Dans le présent article, nous mettons en évidence l’expérience du remplacement particulière au Canada, nous explorons les obligations juridiques des substituts et des médecins qui les embauchent et nous tentons de dégager des travaux antérieurs les aspects pratiques permettant d’optimiser un tel arrangement. Nous présentons aussi la notion des soins axés sur le cabinet, qui offre un cadre de pratique de la médecine familiale qui tient compte des soins en équipe et reconnaît la dynamique propre à chaque cabinet.

Le Sondage national des médecins au Canada signalait en 2010 que 13,9 % des médecins de famille avaient offert des services de remplacement durant l’année précédente1. Parmi tous les groupes d’âges, c’est chez les médecins de moins de 35 ans qu’on retrouve le plus grand pourcentage de substituts, soit 29,6 %1. Dans le même ordre d’idée, Myhre et ses collaborateurs ont constaté une tendance à voir en Alberta des médecins remplaçants plus jeunes2 et le Sondage national des médecins en 2007 révélait que 58 % des résidents de deuxième année en médecine familiale prévoyaient travailler comme remplaçants lorsqu’ils obtiendraient leur diplôme3. De fait, la recherche d’affectations comme substituts au Canada est communément perçue comme un moyen d’explorer la carrière et la pratique 2,3. On retrouve un autre regroupement de médecins remplaçants chez les 65 ans et plus1, qui font probablement une transition vers la retraite. Il est intéressant de souligner que 71,7 % des affectations de substituts dans l’étude par Myhre et ses collègues avaient été organisées sans aide, c’est-à-dire sans recourir à une agence de placement2, ce qui met alors les médecins recruteurs dans l’obligation d’assurer que les substituts ont les titres de compétence appropriés, sont aptes à pratiquer et sont bien préparés pour l’affectation.

Dans d’autres pays

Il est difficile d’établir le nombre précis de médecins remplaçants aux États-Unis; les estimés variaient entre 4 %4 à 36 %5 des médecins en pratique active en 2008. S’il existe comme au Canada des groupes de médecins substituts en début et en fin de carrière, un nombre croissant de médecins aux États-Unis choisissent comme carrière de faire du remplacement5,6. Par le passé, les remplaçants aux États-Unis étaient considérés comme des médecins qui n’étaient pas aptes à entreprendre une pratique permanente en raison de problèmes de compétence ou d’un manque de volonté à s’engager dans une pratique permanente5,7. Par ailleurs, cette perception change, probablement en raison du statut plus officiel et de l’organisation des médecins substituts.

À cette fin, la plupart des affectations de remplacement aux États-Unis sont organisées par l’intermédiaire d’agences de placement temporaire8. Il existe des douzaines d’agences de placement à but lucratif qui jumellent des médecins substituts à des affectations et ces activités sont devenues peu à peu une industrie évaluée à un milliard de dollars8. En règle générale, ces agences examinent les curriculum vitæ, vérifient les références et confirment les permis d’exercice et les titres de compétences appropriés des médecins remplaçants qu’elles placent7. L’avènement d’une telle industrie lucrative en plein essor a entraîné la formation de la National Association of Locum Tenens Organizations8, qui établit des normes de pratique et des codes d’éthique s’appliquant aux agences de placement, aux médecins et aux organisations qui recrutent9. À notre connaissance, aucune norme comparable n’a été fixée pour les médecins substituts au Canada par une association médicale ou un ordre de médecins.

Les données sur les caractéristiques démographiques des médecins substituts au Royaume-Uni sont plus difficiles à extraire, car les travaux de recherche regroupent ensemble les remplaçants et les omnipraticiens qui travaillent à temps partiel. La National Association of Sessional GPs10 au Royaume-Uni signale que 25 % des omnipraticiens travaillent comme remplaçants et 60 % de ceux qui travaillent comme substituts ont entre 30 et 39 ans11,12. Comme au Canada, les médecins remplaçants en Écosse13 en sont souvent aux tout débuts de leur carrière et cherchent à acquérir de l’expérience ou travaillent à temps partiel pour s’occuper de leurs obligations familiales ou encore, ce sont des omnipraticiens en fin de carrière qui veulent travailler sans avoir à assumer la responsabilité d’une pratique à plein temps.

Les remplaçants au Royaume-Uni ont tendance à être plus organisés qu’au Canada et ont formé une association qui défend en leur nom leurs intérêts, notamment pour améliorer l’accès à la formation médicale continue et promouvoir des conditions de travail appropriées10. Plus précisément, ce groupe exerce des pressions pour réduire le «sous-rendement imposé». Essentiellement, il faut pour ce faire établir l’infrastructure nécessaire pour que les substituts puissent soigner les patients en toute sécurité et de manière optimale. Cette infrastructure comporte des contrats qui précisent clairement les responsabilités du remplaçant, assurent son accès à de l’équipement médical, lui accordent assez de temps pour évaluer les patients et prévoient une «trousse du substitut» (une pochette standardisée qui explique les protocoles du cabinet et les processus de demande de consultation, indique les ressources et les hôpitaux locaux et donne une liste de spécialistes). Les substituts ont un plus grand nombre d’avenues pour accéder à des affectations par l’intermédiaire d’agences de cette industrie au Royaume-Uni et peuvent être placés localement ou voyager beaucoup pour occuper leurs fonctions.

Obligations

On a revendiqué une plus grande règlementation des médecins remplaçants au Royaume-Uni et en Europe, à la lumière de cas grandement médiatisés de patients qui ont subi des préjudices à cause de médecins substituts, y compris le décès d’un patient en 2010 et d’autres cas où les remplaçants en cause n’avaient jamais suivi de formation en médecine14,15. On a recommandé le recours à un système centralisé pour évaluer la compétence et un processus standardisé pour examiner les références, les permis d’exercice et la formation antérieure des substituts16–18. La possibilité de préjudices exige que les médecins recruteurs prennent soigneusement en considération leurs obligations professionnelles et légales envers les patients et les remplaçants dans le processus du recrutement.

Au Canada, il existe très peu de jurisprudence concernant les responsabilités du médecin recruteur quant aux problèmes pouvant survenir dans les soins à des patients par un médecin substitut durant son absence. Une recension à l’aide du mot locum a fait ressortir 2 causes pertinentes mais contradictoires19,20.

Étant donné de tels jugements contradictoires, il incombe donc au médecin recruteur d’assurer que le médecin substitut se conforme aux standards de soins, y compris être en règle avec le collège provincial des médecins et chirurgiens, avoir une assurance contre la faute professionnelle et avoir des références qui attestent de sa compétence clinique. Il faut bien préciser le champ de pratique durant l’absence du médecin recruteur, notamment toutes les attentes concernant la communication des résultats aux patients et au médecin recruteur, ainsi que la prise en charge appropriée de ces résultats (p. ex. suivi, demandes de consultation, traitements). Toutes ces questions devraient être expliquées durant une séance d’orientation à la pratique du cabinet, ainsi que les directives à suivre pour la tenue des dossiers, les procédures administratives et de demande de consultation et le recours au personnel de soutien.

Pour ce faire, le contentieux de l’Ontario Medical Association conseille au remplaçant et au médecin recruteur de signer une entente formelle avant le début de l’affectation (on peut obtenir un tel contrat auprès de ProfessionsSantéOntario21). Cette entente devrait énoncer clairement les responsabilités de chacune des parties et préciser la relation entre elles, y compris le but et les conditions de l’entente, les obligations du médecin recruteur, les fonctions du médecin remplaçant et la répartition du produit de la facturation. L’intention est que l’acquittement des obligations précisées dans l’entente exhaustive assure que chaque partie est bien protégée en cas de litige.

Recommandations

Gardant à l’esprit ces obligations contractuelles, les recommandations suivantes à l’intention du médecin recruteur (Encadré 1) et du remplaçant (Encadré 2) ont pour but de faciliter des soins axés sur le cabinet. À l’instar des considérations pragmatiques dont il est question ailleurs22, cette expression concerne l’expérience du médecin qui revient à un cabinet en bon ordre, l’expérience du substitut qui s’intègre dans l’équipe du cabinet, l’expérience du personnel administratif et interprofessionnel de se sentir assisté et l’expérience et la satisfaction des patients en ce qui concerne leurs soins. Un peu de travail préliminaire améliorera l’expérience du remplacement pour toutes les personnes concernées.

Encadré 1.

Recommandations pour le médecin recruteur

Entrevue d’embauche

  • Exigences: S’assurer que le substitut se conforme aux exigences en matière de permis d’exercice et d’assurance médicolégale

  • Références: Vérifier le travail antérieur du substitut, en particulier la satisfaction des patients et sa capacité de travailler avec d’autres membres de l’équipe

  • Revue: Vérifier que les 2 parties s’entendent sur tous les points du contrat

  • Préparation du personnel: Passer en revue les politiques et les procédures du cabinet avec le personnel et le substitut pour assurer que tous les comprennent de la même façon et les appliquent uniformément

Préparation des patients

  • Rappeler au personnel d’avertir les patients quand ils prennent rendez-vous qu’ils verront un remplaçant

  • Avertir les patients en situation de crise que vous serez remplacé durant votre absence

  • Préparer une liste de patients qui ont des problèmes complexes causant des inquiétudes immédiates (p. ex. patients atteints de démence dont le diabète est sous-optimal et en décompensation à domicile) et une liste de résultats importants en attente (p. ex. biopsie d’une masse au sein, mesure de la gonadotrophine chorionique humaine β chez une patiente à risque d’avortement spontané)

Préparation de l’espace physique

  • Assurer un accès facile aux formulaires de demande de consultation

  • Dresser la liste des services de spécialistes préférés

  • Organiser une brève formation sur les dossiers médicaux électroniques ou sous forme papier, selon le cas

  • Passer en revue la façon de communiquer les renseignements sur le suivi

Entrevue de sortie

  • Organiser une rencontre pour échanger réciproquement de la rétroaction

Encadré 2.

Recommandations pour le remplaçant

Observer

  • Lire les dossiers de patients pour vous faire une idée de la façon dont sont pris en charge les cas complexes

  • Viser un juste équilibre entre votre style de pratique et celui du médecin recruteur

Écouter

  • Travailler avec le personnel du cabinet; il connaît la population de la pratique

  • Demander au besoin des conseils et des renseignements au personnel administratif, aux médecins et aux autres professionnels de la santé

  • Soutenir la relation qu’entretiennent les patients avec leur médecin de soins primaires

  • Prendre acte des inquiétudes des patients mais ne pas oublier que la prise en charge des maladies chroniques relève du médecin recruteur (à moins que ce ne soit une affectation à long terme)

Communiquer

  • Contribuer activement votre expérience, mais respecter la culture du cabinet

  • Informer le médecin recruteur de l’état de santé des patients, en particulier des changements importants comme une hospitalisation; dresser une liste des patients et des résultats à suivre, à court et à long termes

Footnotes

  • The English version of this article is available at www.cfp.ca on the table of contents for the December 2012 issue on page 1326.

  • Intérêts concurrents

    Aucun déclaré

  • Les opinions exprimées dans les commentaires sont celles des auteurs. Leur publication ne signifie pas qu’elles sont sanctionnées par le Collège des médecins de famille du Canada.

  • Copyright© the College of Family Physicians of Canada

Références

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Canadian Family Physician
Vol. 58, Issue 12
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