Skip to main content

Main menu

  • Home
  • Articles
    • Current
    • Published Ahead of Print
    • Archive
    • Supplemental Issues
    • Collections - French
    • Collections - English
  • Info for
    • Authors & Reviewers
    • Submit a Manuscript
    • Advertisers
    • Careers & Locums
    • Subscribers
    • Permissions
  • About CFP
    • About CFP
    • About the CFPC
    • Editorial Advisory Board
    • Terms of Use
    • Contact Us
  • Feedback
    • Feedback
    • Rapid Responses
    • Most Read
    • Most Cited
    • Email Alerts
  • Blogs
    • Latest Blogs
    • Blog Guidelines
    • Directives pour les blogues
  • Mainpro+ Credits
    • About Mainpro+
    • Member Login
    • Instructions
  • Other Publications
    • http://www.cfpc.ca/Canadianfamilyphysician/
    • https://www.cfpc.ca/Login/
    • Careers and Locums

User menu

  • My alerts

Search

  • Advanced search
The College of Family Physicians of Canada
  • Other Publications
    • http://www.cfpc.ca/Canadianfamilyphysician/
    • https://www.cfpc.ca/Login/
    • Careers and Locums
  • My alerts
The College of Family Physicians of Canada

Advanced Search

  • Home
  • Articles
    • Current
    • Published Ahead of Print
    • Archive
    • Supplemental Issues
    • Collections - French
    • Collections - English
  • Info for
    • Authors & Reviewers
    • Submit a Manuscript
    • Advertisers
    • Careers & Locums
    • Subscribers
    • Permissions
  • About CFP
    • About CFP
    • About the CFPC
    • Editorial Advisory Board
    • Terms of Use
    • Contact Us
  • Feedback
    • Feedback
    • Rapid Responses
    • Most Read
    • Most Cited
    • Email Alerts
  • Blogs
    • Latest Blogs
    • Blog Guidelines
    • Directives pour les blogues
  • Mainpro+ Credits
    • About Mainpro+
    • Member Login
    • Instructions
  • RSS feeds
  • Follow cfp Template on Twitter
  • LinkedIn
  • Instagram
Article CommentaryCommentaire

La religion dans les soins primaires

Parlons-en

John Guilfoyle and Natalie St Pierre-Hansen
Canadian Family Physician March 2012; 58 (3) e125-e127;
John Guilfoyle
MB BCh BAO FCFP
  • Find this author on Google Scholar
  • Find this author on PubMed
  • Search for this author on this site
  • For correspondence: fjguilfoyle@mac.com
Natalie St Pierre-Hansen
  • Find this author on Google Scholar
  • Find this author on PubMed
  • Search for this author on this site
  • Article
  • eLetters
  • Info & Metrics
  • PDF
Loading

La religion demeure un élément important dans la vie de beaucoup de nos patients, malgré une hausse de l’athéisme et même de l’antithéisme dans les médias scientifiques et populaires1. Un sondage Harris-Décima en 2008 a révélé que 72 % des Canadiens croyaient en Dieu2. On s’intéresse de plus en plus à l’intégration de la spiritualité, de la religion et de la médecine: on compte plus de 1 600 études publiées sur la relation entre la religion et la santé mentale et physique3,4.

Le concept général de la spiritualité concorde bien avec la perception des soins holistiques en médecine familiale. Par contre, pour plusieurs de nos patients, spiritualité est synonyme de religion. Quoiqu’on les désigne souvent indifféremment, la religion et la spiritualité sont différentes. Elles peuvent s’éclairer réciproquement, mais elles sont distinctes. Les religions entraînent parfois des identités, des attentes et des comportements très diversifiés. C’est très différent de la notion plus amorphe, moins délimitée et plus nébuleuse de la spiritualité. Dans bien des scénarios sociaux, la religion divise les gens et nous hésitons donc souvent à en discuter. Mais quelle est la pertinence de la religion en rapport avec les soins à nos patients et leur guérison? Les médecins sont-ils plus à l’aise avec le concept de la spiritualité et moins avec celui de la religion? Est-ce peut-être une autre dimension dans l’interaction patient-médecin et comment peut-on le mieux l’aborder?

Depuis les tout débuts de l’histoire de l’humanité, l’homme cherche une explication transcendante de l’existence. L’historique varié des grandes religions du monde à travers les âges et toutes les cultures en fait foi éloquemment. La religion tente de répondre à l’éternelle question: Quel est le but de l’existence? La réponse semble avoir 2 volets. Le premier est la relation de l’homme avec le divin, que beaucoup appellent Dieu. Cette relation va au-delà de notre réalité corporelle pour se rendre jusqu’au monde du spirituel avec ses notions d’infini et d’éternel. Le deuxième but de l’existence se concentre sur nos relations avec autrui, en insistant sur l’importance de devenir des membres utiles et productifs de la société et ainsi contribuer à notre bien-être personnel et à celui des autres.

Religion et santé

La contribution de la religion à la santé et au bien-être est matière à controverse. L’histoire révèle comment la religion a contribué directement aux guerres, à la souffrance et à la destruction. Pourtant, quelle que soit la dévastation issue de la religion, elle a été aisément dépassée par celle faite par des convictions purement humaines. Les horreurs, particulièrement celles survenues au dernier siècle, du fascisme, de l’impérialisme, du communisme, du socialisme, du capitalisme et du racisme, viennent tout de suite à l’esprit. C’est toutefois loin d’être un endossement enthousiaste de la contribution positive de la religion à la santé de la famille humaine1.

Malgré cette analyse plutôt désolante, les exemples montrant que la religion aide les gens à vivre une vie riche de sens abondent. La religion influence les personnes et les groupes à porter secours à. Les concepts chrétiens de l’agape et du caritatif, et leur contrepartie comme la zakat dans l’islam et les autres notions semblables dans toutes les grandes religions, témoignent d’une préoccupation envers la contribution au bien-être d’autrui. Cela a donné lieu à des activités, en particulier en éducation et en soins de santé, qui ont bénéficié à des millions et des millions de gens.

Si nous acceptons l’hypothèse que la religion contribue positivement à la condition humaine, il peut être utile de comprendre comment.

Il n’est pas clair quels sont éléments essentiels de la religion à cet égard. Les éléments intrinsèques de sa relation avec Dieu importent-ils le plus? Ou serait-ce les éléments extrinsèques des pratiques religieuses et de la relation avec la communauté? La cohésion sociale pourrait atténuer les conflits et promouvoir la santé. Presque paradoxalement, l’altruisme, la philanthropie et le souci d’autrui pourraient être des éléments clés du savoir prendre soin de soi. Peut-être que l’interaction entre la relation très intime et personnelle avec Dieu n’évolue pleinement que lorsqu’elle s’exprime concrètement dans l’assistance à autrui et la contribution significative à la société.

La plupart des études sur ce sujet utilisent la participation à des cérémonies religieuses comme mesure de la religiosité extrinsèque5. Les études qui examinent les éléments intrinsèques sont plus difficiles à évaluer (et plus rares) que celles qui évaluent l’implication religieuse, en raison de l’absence d’un consensus sur le terme spiritualité et de la difficulté à mesurer un concept intangible6.

Une recherche documentaire a révélé que 80 % des études pertinentes ont montré une association positive entre l’implication religieuse (à l’aide de divers critères de mesure de la participation religieuse) et l’état de santé, alors que 15 % révélaient des associations neutres et 5 % des associations négatives7. Les études sur la pratique religieuse et la santé mentale ont cerné des pourcentages semblables (83 % positives, 14 % neutres et 3 % négatives)8. La religiosité a aussi été associée à une plus grande longévité6. Une étude américaine en 1998 (n = 232) examinait la relation entre la pratique religieuse et le rétablissement après une chirurgie cardiaque. Six mois après la chirurgie, 11 % des patients qui ne pratiquaient pas étaient décédés, tandis qu’aucun des 37 patients «profondément religieux» n’était mort9.

D’autres sont plus critiques à l’endroit des données. L’analyse par Sloan et ses collaborateurs en 1999 a fait valoir que les problèmes méthodologiques étaient multiples dans les études existantes, notamment l’omission de faire un contrôle en tenant compte de comparaisons multiples et en fonction de variables confusionnelles et de covariables. Ils concluent que les données probantes sont faibles et incohérentes4. Dans un sondage Gallup en 2010 (n = 550 000) qui tenait compte d’un certain nombre de variables démographiques et géographiques10, les gens qui se considéraient très religieux n’obtenaient des points que légèrement plus élevés à l’indice de la santé physique que ceux qui n’étaient pas religieux (78,0 par rapport à 76,6)10.

En dépit des déficiences dans la plupart des études, certaines font bel et bien un contrôle en fonction des variables confusionnelles et laissent entendre qu’il y a une relation de cause à effet entre la pratique ou le respect de la religion et l’état de santé11. La pratique religieuse exige qu’on assiste aux cérémonies et pourrait être simplement associée à la mobilité, un marqueur de la santé. Matthews et ses collaborateurs mettent en évidence des études qui font valoir une relation inverse entre la pratique et les incapacités6. Ils examinent l’hypothèse que la pratique religieuse entraîne simplement des comportements propices à la santé. Pourtant, en faisant des ajustements tenant compte de tels comportements, les effets positifs de la religion demeuraient valides6.

Discussions spirituelles avec les patients

Comment abordons-nous nos patients religieux? La religion est-elle seulement une autre variable ou un marqueur culturel pour d’autres facteurs qui expliquent mieux la variabilité dans la maladie et la santé? Est-ce suffisant pour les médecins de connaître les divers éléments culturels des nombreuses religions, d’avoir une sorte de compétence culturelle? Comment évaluons-nous et aidons-nous ceux qui n’appartiennent pas à une religion en particulier et pour qui la dimension spirituelle de la santé importe quand même?

Le pourcentage de patients qui souhaitent qu’on s’enquiert de leurs croyances spirituelles varie considérablement (de 4 % à 80 %) selon le milieu12 et la gravité de leur maladie13–15. Une étude américaine multicentrique réalisée en 2003 (n = 456) indiquait que le tiers des patients en soins primaires souhaitaient qu’on les questionne à propos de leurs convictions religieuses durant les visites périodiques, mais pas au détriment de leurs préoccupations d’ordre médical12.

Dans un sondage téléphonique aléatoire aux États-Unis en 2002 (n = 1 052), alors que 69 % des répondants ont dit qu’ils voudraient avoir des discussions sur le plan de la spiritualité s’ils étaient gravement malades, seulement 3 % souhaiteraient en discuter avec leur médecin5. Les patients en clinique externe (n = 177) ont exprimé en plus grande proportion leur désir de discuter de spiritualité avec leur médecin: 66 % ont dit que des questions à propos de la religion augmenteraient leur confiance envers le médecin et près de 50 % ont rapporté que les convictions religieuses du médecin influenceraient leurs décisions médicales13.

Il n’existe pas d’études canadiennes connues se penchant sur les points de vue des médecins à propos des discussions entourant la religion dans leur pratique. Ce qui est évident dans les données américaines, c’est que même si les médecins croient fortement que la religion ou la spiritualité a une influence sur la santé16,17, ils discutent rarement de religion avec leurs patients18–21. Parmi les raisons mentionnées figurent le manque de temps, le manque de formation en anamnèse religieuse, des préoccupations au sujet de la projection de leurs croyances personnelles, la difficulté d’identifier les patients réceptifs, l’éducation des médecins, la culture et leur propre manque de spiritualité20,21.

Sloan et ses collègues reconnaissent les effets positifs et négatifs d’un dialogue axé sur la religion. Ils identifient diverses questions d’éthique entourant les implications de la religion comme traitement médical auxiliaire et maintiennent que ce pourrait constituer un abus de pouvoir et d’autorité de la part du médecin s’il semble imposer ses convictions au patient. Ils énoncent la possibilité que les discussions religieuses soient en réalité nuisibles, car relier la religion avec la santé pourrait renforcer le blâme de soi et l’idée que la maladie est due à un manque de foi4. Rumbold fait aussi valoir que les soins spirituels pourraient être improductifs, parce que la spiritualité renforce l’autonomie et qu’elle pourrait être atténuée par l’implication d’un médecin22. Il poursuit en disant que les experts se seraient emparés de cet aspect de la vie22.

Des interventions productives dans ce domaine exigent un degré élevé de maturité personnelle et spirituelle23. Pour l’atteindre, il faut que le médecin réfléchisse à son approche à l’endroit de la religion et à la dimension spirituelle de la santé. Une plus grande attention à ce chapitre dans la formation préclinique semble logique, de façon à ce que l’apprenant explore les dimensions éthiques de concert avec les autres domaines culturels pertinents.

L’évaluation spirituelle devrait chercher à cerner les réflexions, les souvenirs et les expériences qui confèrent sa cohérence à la vie d’une personne22. Il n’est pas nécessaire que ce soit un processus inquisiteur ou envahissant. Il s’agit d’ouvrir un autre chapitre dans l’histoire de la vie d’un patient. Cela nous aide à comprendre comment et pourquoi les patients abordent leur vie de telle manière et à acquérir une compréhension plus profonde de la façon dont ils interprètent les défis auxquels ils sont confrontés. Cette évaluation peut faciliter l’alliance thérapeutique de manière utile et inattendue. Le fait même de reconnaître une dimension spirituelle à la santé fait savoir au patient que nous sommes attentifs à ses besoins, à ses aspirations et à ses inquiétudes dans cette arène.

Mais cette démarche comporte un certain danger. Si nous entrons avec maladresse dans le cheminement spirituel ou religieux d’autrui avec des analyses et commentaires insensibles, partiaux et inutiles, nous ferons plus de mal que de bien. Un autre avertissement prend particulièrement son sens véritable dans ce domaine : médecin connais-toi toi-même. Nous serons appelés à examiner notre propre vision du monde en ce qui a trait à la religion et à nos préjugés inhérents.

Une meilleure compréhension de la façon dont la religion peut influencer notre santé a d’importantes conséquences sur la formation, la pratique et la recherche. Si vous adoptons la notion que la religion peut contribuer au bien-être de la personne et, par le fait même, de la société, les médecins de famille pourraient trouver utile de comprendre et d’encourager ses effets heuristiques. Nous sommes ainsi mis au défi de faire une recherche plus approfondie à ce sujet, surtout au Canada. Cela ajoute une autre dimension à la relation médecin-patient et nous demande de regarder nos communautés sous un nouvel angle.

La religion est un important aspect de la vie de tant de gens dans notre monde. Peut-être pourrions-nous contribuer à ce qu’elle soit à la fois utile et bonne pour la santé?

Footnotes

  • Cet article a fait l’objet d’une révision par des pairs.

  • The English translation of this article is available at www.cfp.ca on the table of contents for the March 2012 issue on page 249.

  • Intérêts concurrents

    Aucun déclaré

  • Les opinions exprimées dans les commentaires sont celles des auteurs. Leur publication ne signifie pas qu’elles sont sanctionnées par le Collège des médecins de famille du Canada.

  • Copyright© the College of Family Physicians of Canada

Références

  1. ↵
    1. Hitchens C
    . God is not great: how religions poison everything. Toronto, ON: McClelland and Stewart Ltd; 2007.
  2. ↵
    1. La Presse canadienne
    . Almost a quarter of Canadians don’t believe in any God, new poll says. Toronto, ON: CBC; 2008. Accessible à: www.cbc.ca/canada/story/2008/06/03/f-religion-poll.html. Accédé le 20 janvier 2012.
  3. ↵
    1. Kliewer S
    . Allowing spirituality into the healing process. J Fam Pract 2004;53(8):616-24.
    OpenUrlPubMed
  4. ↵
    1. Sloan RP,
    2. Bagiella E,
    3. Powell T
    . Religion, spirituality and medicine. Lancet 1999;353(9153):664-7.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  5. ↵
    1. Mansfield CJ,
    2. Mitchel J,
    3. King DE
    . The doctor as God’s mechanic? Beliefs in the Southeastern United States. Soc Sci Med 2002;54(3):399-409.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  6. ↵
    1. Matthews DA,
    2. McCullough ME,
    3. Larson DB,
    4. Koenig HG,
    5. Swyers JP,
    6. Milano MG
    . Religious commitment and health status: a review of the research and implications for family medicine. Arch Fam Med 1998;7(2):118-24.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  7. ↵
    1. Craigie FC,
    2. Liu IY,
    3. Larson DB,
    4. Lyons JS
    . A systematic analysis of religious variables in the Journal of Family Practice, 1976–1986. J Fam Pract 1988;27(5):509-13.
    OpenUrlPubMed
  8. ↵
    1. Larson DB,
    2. Greenwold-Milano MA
    . Are religion and spirituality clinically relevant in health care? Mind Body Med 1995;1(3):147-57.
    OpenUrl
  9. ↵
    1. Oxman TE,
    2. Freeman DH Jr.,
    3. Manheimer ED
    . Lack of social participation or religious strength and comfort as risk factors for death after cardiac surgery in the elderly. Psychosom Med 1995;57(1):5-15.
    OpenUrlAbstract/FREE Full Text
  10. ↵
    1. Newport F,
    2. Agrawal S,
    3. Witters D
    . Very religious Americans lead healthier lives: relationship holds when controlling for key demographics. Washington, DC: Gallup; 2010. Accessible à: www.gallup.com/poll/145379/religious-americans-lead-healthier-lives.aspx. Accédé le 20 janvier 2012.
  11. ↵
    1. Kark JD,
    2. Shemi G,
    3. Friedlander Y,
    4. Martin O,
    5. Manor O,
    6. Blondheim SH
    . Does religious observance promote health? Mortality in secular vs religious Kibbutzim in Israel. Am J Public Health 1996;86(3):341-6.
    OpenUrlPubMed
  12. ↵
    1. MacLean CD,
    2. Susi B,
    3. Phifer N,
    4. Schultz L,
    5. Bynum D,
    6. Franco M,
    7. et al
    . Patient preference for physician discussion and practice of spirituality. J Gen Intern Med 2003;18(1):38-43.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  13. ↵
    1. Ehman JW,
    2. Ott BB,
    3. Short TH,
    4. Ciampa RC,
    5. Hansen-Flaschen J
    . Do patients want their physicians to inquire into their practices? What does the evidence say? Ann Behav Med 2002;24:69-73.
    OpenUrlCrossRefPubMed
    1. Maugans TA,
    2. Wadland WC
    . Religion and family medicine: a survey of physicians and patients. J Fam Pract 1991;32(2):210-3.
    OpenUrlPubMed
  14. ↵
    1. McCord G,
    2. Gilchrist VJ,
    3. Grossman SD,
    4. King BD,
    5. McCormick KE,
    6. Oprandi AM,
    7. et al
    . Discussing spirituality with patients: a rational and ethical approach. Ann Fam Med 2004;2(4):356-61.
    OpenUrlAbstract/FREE Full Text
  15. ↵
    1. Curlin FA,
    2. Roach CJ,
    3. Gorawara-Bhat R,
    4. Lantos JD,
    5. Chin MH
    . How are religion and spirituality related to health? A study of physicians’ perspectives. South Med J 2005;98(8):761-6.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  16. ↵
    1. Wilson K,
    2. Lipscomb LD,
    3. Ward K,
    4. Replogle WH,
    5. Hill K
    . Prayer in medicine: a survey of primary care physicians. J Miss State Med Ass 2000;41(12):817-22.
    OpenUrl
  17. ↵
    1. King DE,
    2. Bushwick B
    . Beliefs and attitudes of hospital inpatients about faith healing and prayer. J Fam Pract 1994;39(4):349-52.
    OpenUrlPubMed
    1. Anderson JM,
    2. Anderson LJ,
    3. Felsenthal G
    . Pastoral needs for support within an inpatient rehabilitation unit. Arch Phys Med Rehabil 1993;74(6):574-8.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  18. ↵
    1. Ellis MR,
    2. Campbell JD,
    3. Detwiler-Breidenback A,
    4. Hubbard DK
    . What do family physicians think about spirituality in clinical practice? J Fam Pract 2002;51(3):249-54.
    OpenUrlPubMed
  19. ↵
    1. Ellis MR,
    2. Vinson DC,
    3. Ewigman B
    . Addressing spiritual concerns of patients: family physicians’ attitudes and practices. J Fam Pract 1999;48(2):105-9.
    OpenUrlPubMed
  20. ↵
    1. Rumbold BD
    . A review of spiritual assessment in health care practice. Med J Aust 2007;186(10 Suppl):S60-2.
    OpenUrlPubMed
  21. ↵
    1. Waldfogel S
    . Spirituality in medicine. Prim Care 1997;24(4):963-76.
    OpenUrlPubMed
PreviousNext
Back to top

In this issue

Canadian Family Physician: 58 (3)
Canadian Family Physician
Vol. 58, Issue 3
1 Mar 2012
  • Table of Contents
  • About the Cover
  • Index by author
Print
Download PDF
Article Alerts
Sign In to Email Alerts with your Email Address
Email Article

Thank you for your interest in spreading the word on The College of Family Physicians of Canada.

NOTE: We only request your email address so that the person you are recommending the page to knows that you wanted them to see it, and that it is not junk mail. We do not capture any email address.

Enter multiple addresses on separate lines or separate them with commas.
La religion dans les soins primaires
(Your Name) has sent you a message from The College of Family Physicians of Canada
(Your Name) thought you would like to see the The College of Family Physicians of Canada web site.
CAPTCHA
This question is for testing whether or not you are a human visitor and to prevent automated spam submissions.
Citation Tools
La religion dans les soins primaires
John Guilfoyle, Natalie St Pierre-Hansen
Canadian Family Physician Mar 2012, 58 (3) e125-e127;

Citation Manager Formats

  • BibTeX
  • Bookends
  • EasyBib
  • EndNote (tagged)
  • EndNote 8 (xml)
  • Medlars
  • Mendeley
  • Papers
  • RefWorks Tagged
  • Ref Manager
  • RIS
  • Zotero
Respond to this article
Share
La religion dans les soins primaires
John Guilfoyle, Natalie St Pierre-Hansen
Canadian Family Physician Mar 2012, 58 (3) e125-e127;
Twitter logo Facebook logo Mendeley logo
  • Tweet Widget
  • Facebook Like
  • Google Plus One

Jump to section

  • Article
    • Religion et santé
    • Discussions spirituelles avec les patients
    • Footnotes
    • Références
  • eLetters
  • Info & Metrics
  • PDF

Related Articles

  • Religion in primary care
  • Google Scholar

Cited By...

  • No citing articles found.
  • Google Scholar

More in this TOC Section

  • Réflexions sur la valeur du multiculturalisme canadien dans la prestation des soins de santé
  • L’éléphant environnemental dans la clinique : les médicaments
  • Propositions de recherche en 6 phrases et 3 énoncés
Show more Commentaire

Similar Articles

Subjects

  • Collection française
    • Commentaire

Navigate

  • Home
  • Current Issue
  • Archive
  • Collections - English
  • Collections - Française

For Authors

  • Authors and Reviewers
  • Submit a Manuscript
  • Permissions
  • Terms of Use

General Information

  • About CFP
  • About the CFPC
  • Advertisers
  • Careers & Locums
  • Editorial Advisory Board
  • Subscribers

Journal Services

  • Email Alerts
  • Twitter
  • LinkedIn
  • Instagram
  • RSS Feeds

Copyright © 2025 by The College of Family Physicians of Canada

Powered by HighWire