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Article CommentaryCommentaire

Importance de l’éducation dans la prise en charge du diabète de type 2 durant le Ramadan

Doaa Farid, Ellen Rosenberg and Gillian Bartlett
Canadian Family Physician June 2014, 60 (6) 518-520;
Doaa Farid
Candidate au doctorat au Département de médecine de famille de l’Université McGill à Montréal, au Québec.
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Ellen Rosenberg
Professeure agrégée au Département de médecine de famille de l’Université McGill et médecin au Département de médecine de famille du Centre hospitalier de St. Mary à Montréal.
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Gillian Bartlett
Professeur agrégé et directrice du programme d’études supérieures en recherche au Département de médecine de famille de l’Université McGill.
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  • For correspondence: gillian.bartlett@mcgill.ca
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Environ 50 millions de musulmans adultes souffrant de diabète de type 1 (DT1) et de diabète de type 2 (DT2) se privent de manger et de boire du lever jusqu’au coucher du soleil durant le mois du Ramadan, même s’ils en sont exemptés par leur religion1. Le Ramadan fait partie des convictions religieuses de nombreux musulmans diabétiques et il leur importe d’en respecter le rite du jeûne intermittent. Dans l’étude EPIDIAR (Epidemiology of Diabetes and Ramadan), on s’est penché sur ce phénomène chez quelque 12 243 participants de 13 pays et on a observé que 43 % des patients ayant un DT1 et 79 % de ceux ayant un DT2 jeûnaient durant le mois du Ramadan2. Ce jeûne durant le Ramadan était susceptible d’influencer leurs habitudes alimentaires, leurs activités physiques quotidiennes, leur sommeil, leur contrôle glycémique, leur poids, leur profil lipidique et la quantité d’aliments consommés. On présente à la Figure 1 une journée typique du Ramadan.

Figure 1.
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Figure 1.

Journée typique durant le Ramadan

Les avantages et les risques d’un jeûne intermittent chez des personnes ayant un DT2 sont toujours à l’étude. Les plus récentes constatations indiquent que les patients ayant un DT2 qui jeûnent pourraient être à risque d’hypoglycémie s’ils ne suivent pas bien leurs pharmacothérapies; les patients atteints de DT1 ont un risque de 4,7 fois plus élevé (0,14 c. 0,03 épisode par mois) et ceux souffrant d’un DT2 ont un risque 7,5 fois plus grand (0,03 c. 0,004 épisode par mois) d’hypoglycémie grave1. Parmi les autres importantes complications possibles du jeûne pour ces patients figurent l’hyperglycémie, l’acidocétose diabétique, la déshydratation et la thrombose. En Suède, Vasan et ses collaborateurs ont entrepris une évaluation prospective des habitudes alimentaires de patients musulmans atteints de DT2 qui ont entrepris un jeûne durant le Ramadan3. Les patients se conformaient mal aux directives en matière de nutrition, ce qui les poussait à augmenter leur consommation de toutes les composantes alimentaires (gras, hydrates de carbone et protéines). Les auteurs ont conclu que de tels patients nécessitaient une surveillance étroite durant le jeûne.

Études sur la composition corporelle et le Ramadan

Malheureusement, la plupart des études sur la composition corporelle durant un jeûne du Ramadan ne portent que sur des athlètes. Dans une récente revue systématique, on examinait l’apport alimentaire, le poids corporel et les paramètres lipidiques chez des patients atteints de DT2 et, selon les constatations, aucune amélioration significative dans le profil lipidique durant le jeûne du Ramadan n’a été signalée4. Très peu d’études examinaient la façon dont la composition corporelle, en particulier le gras viscéral, pourrait changer chez des personnes diabétiques ou non5, ou encore contribuer à des avantages potentiels inconnus. Le principal bienfait était une augmentation substantielle de 30 % à 40 % des niveaux de lipoprotéines de haute densité chez les sujets en santé mais pas chez les personnes diabétiques4. Au meilleur de nos connaissances, aucune étude n’a démontré qu’un jeûne intermittent contribuait à des changements dans la distribution du gras, améliorant potentiellement ainsi le contrôle glycémique. M’guil et ses collègues ont mesuré les marqueurs anthropométriques et métaboliques de 120 patients atteints de DT2 dont le diabète était contrôlé la veille du Ramadan, puis aux 15e et 29e jours du Ramadan et 15 jours après la fin du Ramadan, après leur avoir fourni des instructions sur l’alimentation et des agents d’ajustements par voie orale5. Ils ont conclu que le jeûne intermittent n’avait pas eu d’effets notables sur la consommation d’énergie, l’indice de masse corporelle, la tension artérielle ou la fonction rénale. Ils ont observé certaines fluctuations dans les niveaux de lipides, de créatinine, d’acide urique, de protéines totales, de bilirubine et d’électrolytes. Dans une étude observationnelle portant sur 17 personnes utilisant un système de surveillance continue du glucose sur 72 heures, il s’est produit une réduction significative des incidents hyperglycémiques (p = ,04) et aucun changement dans les incidents hypoglycémiques durant le Ramadan (p = ,21)6. Même si la taille de l’échantillon était petite, les auteurs ont conclu que le jeûne du Ramadan était sécuritaire pour les patients dont le DT2 était bien contrôlé et qui se conformaient à leur pharmacothérapie5,7.

Traitement durant le jeûne

Sur le plan de la médication, il faut ajuster la posologie durant cette période pour accommoder les changements à l’alimentation et au mode de vie (insuline et agents hypoglycémiques oraux)8. Afin de réduire le risque d’hypoglycémie durant le jour et d’hyperglycémie la nuit, les patients atteints de DT2 qui jeûnent doivent être surveillés fréquemment pour cerner les changements dans la glycémie et faire les ajustements nécessaires aux options thérapeutiques. La metformine seule peut être utilisée en toute sécurité durant un jeûne et elle présente une possibilité minimale d’hypoglycémie sévère; toutefois, selon des recommandations consensuelles, le dosage peut être modifié de façon à ce que les 2 tiers de la dose quotidienne totale soient pris durant le repas du crépuscule et l’autre tiers durant le repas avant l’aube1,8. Il faudrait éviter les sulfonylurées durant le jeûne du Ramadan en raison du risque d’hypoglycémie6. Comme autre option, on peut choisir des sécrétagogues de l’insuline à courte durée d’action pour les patients qui font de l’hyperglycémie après les repas9. Les médecins qui traitent leurs patients avec de l’insuline devraient envisager des formulations d’insuline à action intermédiaire ou à longue durée d’action en plus d’une insuline à courte durée d’action avant les repas1.

Interventions relatives au mode de vie et éducation des patients

À l’heure actuelle, la plupart des médecins jugent acceptable que les patients dont le DT2 est bien contrôlé jeûnent durant le Ramadan sous réserve qu’ils demeurent vigilants à propos de leur état de santé, de leurs choix de mode de vie (alimentation et médication) et de leur régime d’activité physique4,10. Il a été démontré qu’il est bénéfique de fournir de l’information axée sur le Ramadan pour responsabiliser les personnes diabétiques afin qu’ils changent leurs habitudes de vie durant cette période11. Le counseling avant que commence le Ramadan permet de mieux les sensibiliser aux effets indésirables éventuels et à la prise en charge appropriée du diabète. Des citoyens du Royaume-Uni qui ont jeûné durant le Ramadan et avaient participé à un programme d’éducation et de sensibilisation au diabète centré sur le Ramadan étaient plus susceptibles de faire des choix de modes de vie sains et de minimiser le risque d’événements hypoglycémiques et de prise de poids12. Avant le Ramadan, ceux qui voulaient jeûner ont fait l’objet d’une évaluation et ont participé à un apprentissage structuré portant sur l’activité physique, la planification des repas, la surveillance du glucose, le dosage des médicaments et le moment de les prendre. Les recommandations concernaient l’interruption du jeûne avec des aliments à libération lente d’énergie et l’évitement des aliments riches en gras saturés; la pratique d’activités physiques légères et régulières, et ce, sans excès, durant la soirée pour éviter l’hypoglycémie; le recours à des tests réguliers de la glycémie (car ils ne contreviennent pas au jeûne) et à ces tests aussitôt que la personne ne se sent pas bien; l’interruption du jeûne et la demande d’assistance quand la personne reconnaît les signes d’un incident hypoglycémique; la demande de conseils médicaux à son omnipraticien avant le Ramadan; et les ajustements nécessaires pour rester en santé12. Fatim et ses collaborateurs ont observé des bienfaits dans le contrôle du diabète chez 96 patients qui ont participé à un programme d’information de 15 jours sur le jeûne du Ramadan11. De plus, dans une étude prospective auprès de 110 patients, Ahmedani et ses collaborateurs ont constaté une réduction du nombre de complications aiguës du diabète grâce à la surveillance active de la glycémie, à la modification de la posologie des médicaments, au counseling sur l’alimentation et à l’éducation des patients. Ils ont remarqué que la plupart des épisodes hypoglycémiques et hyperglycémiques se produisaient avant l’aube, ce qui indique la nécessité de cibler davantage les efforts d’éducation13.

De nombreux médecins ne sont pas au courant des renseignements qu’ils doivent fournir à leurs patients diabétiques qui jeûnent durant le Ramadan. C’est peut-être qu’ils ne connaissent pas le matériel d’information existant sur le jeûne chez les personnes ayant un DT2 ou encore qu’ils ne savent pas que leurs patients ont l’intention de jeûner en raison d’un manque de communication entre les médecins et les patients14. En France, dans une étude transversale réalisée 3 mois avant le début du Ramadan, on a évalué les attitudes de 202 patients et omnipraticiens à l’endroit du jeûne du Ramadan et du diabète. L’éducation insuffisante et les attitudes religieuses strictes des patients les mettaient à risque d’hypoglycémie durant le jeûne. De plus, ils sautaient le repas d’avant l’aube et certains persistaient à prendre des sulfonylurées. Plus de 27 % des patients qui ont souffert d’hypoglycémie durant la journée refusaient de manger quelque chose par la bouche pour corriger l’hypoglycémie, parce qu’ils auraient ainsi transgressé le jeûne. L’étude faisait aussi valoir que les connaissances des omnipraticiens à propos du jeûne étaient minimes, ce qui aurait pu contribuer au manque d’éducation des patients et de conseils fondés sur des données probantes14.

Réflexions

Au cours des 6 prochaines années, le Ramadan aura lieu durant les mois de juin ou juillet, la période la plus chaude dans la plupart des pays de l’hémisphère Nord. Les patients atteints d’un DT1 ou d’un DT2 auront à endurer de très longues journées avant le coucher du soleil et auront un risque accru de déshydratation. Dans le respect du choix d’une personne de suivre le jeûne du Ramadan, il faut prendre en considération les besoins de ceux qui sont atteints du diabète. Les professionnels de la santé jouent un rôle important pour sensibiliser leurs patients diabétiques aux risques et leur offrir des lignes directrices dans le but de minimiser les effets néfastes qui pourraient résulter de leur jeûne intermittent. Avant le Ramadan, il est à conseiller que les médecins demandent à leurs patients musulmans diabétiques s’ils suivront un jeûne afin d’établir un plan d’ajustement de leur traitement et de leur régime alimentaire. Parmi les recommandations à faire, il faut dire aux patients de consommer des aliments sains (aliments à libération d’énergie lente et à faible teneur en gras saturés), de faire des activités physiques légères durant la journée mais moins le soir, de tester leur glycémie au besoin, d’interrompre leur jeûne lorsqu’ils sont à risque d’incidents hypoglycémiques et de rester en contact étroit avec leur médecin avant et après le Ramadan.

Conclusion

Dans la littérature médicale publiée, on indique qu’il y a un nombre grandissant de patients atteints de DT1 et de DT2 qui jeûnent durant le Ramadan. Jusqu’à présent, seules des études de relativement petite envergure ont évalué les changements métaboliques chez les personnes diabétiques ou non durant le Ramadan. Ces études font valoir que le jeûne a bel et bien des effets métaboliques, mais qu’ils doivent être investigués de manière plus définitive auprès d’un plus grand échantillonnage de patients. À notre connaissance, il n’y a eu aucune étude qui se soit intéressée aux effets d’un jeûne intermittent chez des personnes ayant un DT2 par rapport à un groupe témoin en ce qui a trait au gras viscéral, à la néphropathie, à la rétinopathie et à la neuropathie apparaissant après le Ramadan. Le traitement devrait être individualisé et d’autres études sont nécessaires pour explorer les avantages possibles des thérapies à base d’incrétines et des pompes à insuline durant le Ramadan. Des études sur des populations ont démontré les effets positifs de l’éducation des patients, mais on a fait très peu pour aider les médecins traitant des patients diabétiques qui jeûnent. Les médecins, surtout dans des pays non musulmans, peuvent ne pas être familiers avec le jeûne intermittent durant le Ramadan et ses effets sur les patients ou avoir très peu de connaissances à ce sujet. Les médecins pourraient alors opter pour la prudence et recommander comme règle générale de s’abstenir de jeûner. Cette attitude pourrait creuser un fossé inutile dans la communication et la relation médecin-patient. D’autres études de recherche contribueraient à la formulation de pratiques exemplaires recommandées, adaptées à la culture, pour aider à la fois les médecins et les patients.

Footnotes

  • Cet article donne droit à des crédits Mainpro-M1. Pour obtenir des crédits, allez à www.cfp.ca et cliquez sur le lien vers Mainpro

  • Cet article a fait l’objet d’une révision par des pairs.

  • This article is also on English on page 508.

  • Intérêts concurrents

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  • Les opinions exprimées dans les commentaires sont celles des auteurs. Leur publication ne signifie pas qu’elles sont sanctionnées par le Collège des médecins de famille du Canada.

  • Copyright© the College of Family Physicians of Canada

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Canadian Family Physician
Vol. 60, Issue 6
1 Jun 2014
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