Skip to main content

Main menu

  • Home
  • Articles
    • Current
    • Published Ahead of Print
    • Archive
    • Supplemental Issues
    • Collections - French
    • Collections - English
  • Info for
    • Authors & Reviewers
    • Submit a Manuscript
    • Advertisers
    • Careers & Locums
    • Subscribers
    • Permissions
  • About CFP
    • About CFP
    • About the CFPC
    • Editorial Advisory Board
    • Terms of Use
    • Contact Us
  • Feedback
    • Feedback
    • Rapid Responses
    • Most Read
    • Most Cited
    • Email Alerts
  • Blogs
    • Latest Blogs
    • Blog Guidelines
    • Directives pour les blogues
  • Mainpro+ Credits
    • About Mainpro+
    • Member Login
    • Instructions
  • Other Publications
    • http://www.cfpc.ca/Canadianfamilyphysician/
    • https://www.cfpc.ca/Login/
    • Careers and Locums

User menu

  • My alerts

Search

  • Advanced search
The College of Family Physicians of Canada
  • Other Publications
    • http://www.cfpc.ca/Canadianfamilyphysician/
    • https://www.cfpc.ca/Login/
    • Careers and Locums
  • My alerts
The College of Family Physicians of Canada

Advanced Search

  • Home
  • Articles
    • Current
    • Published Ahead of Print
    • Archive
    • Supplemental Issues
    • Collections - French
    • Collections - English
  • Info for
    • Authors & Reviewers
    • Submit a Manuscript
    • Advertisers
    • Careers & Locums
    • Subscribers
    • Permissions
  • About CFP
    • About CFP
    • About the CFPC
    • Editorial Advisory Board
    • Terms of Use
    • Contact Us
  • Feedback
    • Feedback
    • Rapid Responses
    • Most Read
    • Most Cited
    • Email Alerts
  • Blogs
    • Latest Blogs
    • Blog Guidelines
    • Directives pour les blogues
  • Mainpro+ Credits
    • About Mainpro+
    • Member Login
    • Instructions
  • RSS feeds
  • Follow cfp Template on Twitter
Review ArticlePratique

Prise en charge de l’infection gonococcique chez les adultes et les jeunes

Nouvelles recommandations

Lisa Pogany, Barbara Romanowski, Joan Robinson, Margaret Gale-Rowe, Cathy Latham-Carmanico, Christine Weir and Tom Wong
Canadian Family Physician October 2015, 61 (10) e451-e456;
Lisa Pogany
Épidémiologiste à la Direction générale de la prévention et du contrôle des maladies infectieuses à l’Agence de la santé publique du Canada à Ottawa (Ontario).
  • Find this author on Google Scholar
  • Find this author on PubMed
  • Search for this author on this site
  • For correspondence: lisa.pogany@phac-aspc.gc.ca
Barbara Romanowski
Professeure de clinique de médecine à la Faculté de médecine et de chirurgie dentaire de l’Université de l’Alberta à Edmonton.
  • Find this author on Google Scholar
  • Find this author on PubMed
  • Search for this author on this site
Joan Robinson
Médecin spécialisée dans les maladies infectieuses pédiatriques à l’Université de l’Alberta et à l’Hôpital Stollery Children’s à Edmonton.
  • Find this author on Google Scholar
  • Find this author on PubMed
  • Search for this author on this site
Margaret Gale-Rowe
Directrice intérimaire
  • Find this author on Google Scholar
  • Find this author on PubMed
  • Search for this author on this site
Cathy Latham-Carmanico
Infirmière-conseil
  • Find this author on Google Scholar
  • Find this author on PubMed
  • Search for this author on this site
Christine Weir
Infirmière épidémiologiste
  • Find this author on Google Scholar
  • Find this author on PubMed
  • Search for this author on this site
Tom Wong
Directeur sortant de la Division des lignes directrices professionnelles et des pratiques de santé publique, tous au Centre de la lutte contre les maladies transmissibles et les infections de l’Agence de la santé publique du Canada.
  • Find this author on Google Scholar
  • Find this author on PubMed
  • Search for this author on this site
  • Article
  • Figures & Data
  • eLetters
  • Info & Metrics
  • PDF
Loading

L’incidence déclarée d’infection à Neisseria gonorrhoeae grimpe au Canada depuis 19971,2. En 2012, on comptait 12 561 cas déclarés, pour une incidence de 36,2 cas par 100 000 personnes. L’incidence la plus élevée se trouve parmi les adolescents et les jeunes adultes : hommes de 20 à 24 ans, femmes de 20 à 24 ans et adolescentes de 15 à 19 ans (148,5; 153,0 et 141,3 cas par 100 000 en 2012, respectivement)2. Quatrevingts cas ont aussi été déclarés parmi les 10 à 14 ans, et moins de 5 cas parmi les enfants de moins de 10 ans2. Depuis les années 1990, l’incidence s’est accrue le plus rapidement chez les hommes et les femmes de 20 à 24 ans1,2.

Les séquelles à long terme de l’infection gonococcique non traitée peuvent être sérieuses3–5. Chez les femmes, lesquelles sont souvent asymptomatiques, les complications sont les suivantes : maladies pelviennes inflammatoires, infertilité, grossesse ectopique, douleur pelvienne chronique, syndrome oculo-urétro-synovial (arthrite réactionnelle) et infection gonococcique disséminée. Les hommes non traités pourraient quant à eux développer une orchi-épididymite, un syndrome oculo-urétro-synovial (arthrite réactionnelle), une infection gonococcique disséminée et (rarement) l’infertilité.

L’apparition de la résistance du gonocoque aux antibiotiques est d’autant plus importante. Parmi les échantillons de N gonorrhoeae soumis au Laboratoire national de microbiologie de l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC), une résistance aux pénicillines, aux tétracyclines, aux quinolones et aux macrolides (y compris l’azithromycine) a été observée, de même que plus récemment, une sensibilité réduite aux céphalosporines, qui s’intensifie au fil du temps6–10. Les données estimant la prévalence réelle des infections à gonocoque résistant aux antibiotiques sont limitées, en partie par la grande proportion d’infections qui sont asymptomatiques, et donc jamais diagnostiquées, et la transition au test d’amplification des acides nucléiques (TAAN) à la place des cultures11. Les TAAN commercialisés permettent de poser rapidement un diagnostic d’infection gonococcique et de tester les échantillons d’urine. Au contraire des cultures cependant, ils ne fournissent à l’heure actuelle aucun renseignement sur la sensibilité des bactéries aux antibiotiques. Pour éviter la menace réelle d’échec thérapeutique, les renseignements justes et ponctuels en matière de résistance sont cruciaux dans la prise en charge des cas individuels et dans la formulation de lignes directrices.

Il est essentiel que les médecins de famille connaissent les recommandations les plus actuelles en matière de diagnostic et de prise en charge des cas non compliqués de gonorrhée chez les jeunes et les adultes, car l’incidence s’est accrue et l’échec thérapeutique entraînant des problèmes de santé est un risque réel. Cet article vise principalement à appuyer les généralistes dans l’adoption de pratiques exemplaires en matière d’utilisation des cultures, des traitements combinés et des tests de suivi.

Qualité des données

Les Lignes directrices canadiennes sur les infections transmissibles sexuellement12 ont été créées par l’ASPC sous la direction d’un groupe de travail d’experts, composé de spécialistes et de chercheurs en médecine, soins infirmiers, microbiologie, pharmacologie et santé publique. Les membres ont fait don de leur temps à titre d’auteurs et d’évaluateurs afin de maintenir des recommandations à jour fondées sur les données probantes en matière de prévention, de diagnostic, de traitement et de prise en charge des infections transmissibles sexuellement au Canada.

Les recommandations sont basées sur la recherche documentaire, l’évaluation de la qualité des données probantes, la formulation par l’entremise d’un processus itératif avec les auteurs principaux et l’approbation par le groupe de travail d’experts. Le Tableau 112 résume les 5 catégories de recommandations, lesquelles incluent les recommandations en faveur du traitement (grades A et B), aucune recommandation (grade C), les recommandations contre le traitement (grade D) et les données insuffisantes (grade I). Le Tableau 212 résume la qualité des données probantes, allant des essais cliniques randomisés contrôlés (niveau 1) à l’opinion d’experts (niveau 3).

View this table:
  • View inline
  • View popup
Tableau 1.

Catégories de recommandations

View this table:
  • View inline
  • View popup
Tableau 2.

Qualité des données

Les recommandations en faveur du traitement combiné sont basées sur des données émergentes : au moment de la formulation des recommandations, les données probantes étaient sous presse ou disponibles dans les congrès seulement.

Message principal

Une approche détaillée de santé publique sur la prise en charge des infections gonococciques inclut le diagnostic, le traitement (Tableau 37,9,13–25), le suivi (y compris la prise en charge de l’échec thérapeutique), la prévention des réinfections, la notification des partenaires et la déclaration aux autorités de santé publique. Pour plus de détails sur les recommandations, les Lignes directrices canadiennes sur les infections transmissibles sexuellement sont accessibles en ligne12.

View this table:
  • View inline
  • View popup
Tableau 3.

Traitement recommandé pour les infections anogénitales et pharyngées non compliquées chez les adultes et les jeunes (≥ 9 ans)

Diagnostic

Pour poser un diagnostic d’infection gonococcique, il faut obtenir un spécimen approprié aux fins d’analyse par culture ou TAAN. Dans certains cas, il serait approprié d’obtenir les spécimens aux fins à la fois de culture et de TAAN. Le test d’amplification des acides nucléiques est plus sensible et plus spécifique que les cultures, ce qui peut multiplier les cas dépistés26,27. Aussi, le TAAN fournit des résultats positifs plus tôt après l’exposition que les cultures; ainsi, le TAAN est la méthode diagnostique de choix si le test a lieu dans les 48 heures suivant l’exposition. Malgré ces avantages, les cultures sont recommandées chez les personnes qui présentent un risque accru d’infection résistante aux antibiotiques, et aux fins de surveillance des tendances à la résistance aux antibiotiques28–30. Les cultures sont particulièrement importantes et devraient être utilisées, lorsque cela est pratique, dans les populations suivantes :

  • hommes qui ont des relations sexuelles avec des hommes (HSH),

  • survivants de violence sexuelle ou d’agression sexuelle,

  • femmes chez lesquelles on soupçonne une maladie pelvienne inflammatoire,

  • personnes infectées dans des régions géographiques (Canada6 et internationales) où la résistance aux antibiotiques est élevée,

  • personnes chez lesquelles on soupçonne un échec thérapeutique.

Les personnes atteintes d’une infection gonococcique sont souvent aussi infectées par Chlamydia trachomatis; ainsi, il faut toujours procéder au dépistage des 2 infections31. En raison du partage des voies de transmission, il faut offrir les interventions suivantes : sérologie pour la syphilis; test de dépistage du VIH (si la personne n’est supposément pas infectée) et counseling; et vaccination contre le virus du papillome humain, l’hépatite B et l’hépatite A, le cas échéant12,32,33.

Traitement

En réponse à la résistance croissante aux antibiotiques, le traitement combiné de l’infection gonococcique est recommandé. Le Tableau 37,9,13–25 présente les options thérapeutiques; le choix de médicaments varie en fonction de la population et du siège de l’infection.

  • Chez les HSH, les autres adultes et les jeunes (≥ 9 ans), le traitement de première intention des infections anogénitales ou pharyngées non compliquées est la ceftriaxone (250 mg intramusculaire, dose unique) associée à l’azithromycine (1 g par voie orale, dose unique).

  • Pour les infections anogénitales non compliquées chez les patients autres que les HSH, la céfixime (800 mg par voie orale, dose unique) associée à l’azithromycine (1 g par voie orale, dose unique) sont aussi envisagées en première intention.

  • Ces options associent des antibiotiques qui agissent selon des mécanismes différents, leurs effets thérapeutiques additifs ou synergiques pourraient retarder l’émergence d’autres gonorrhées résistantes aux céphalosporines34,35. Lors de l’administration de la dose unique, le traitement sous surveillance directe est souhaitable. Le traitement combiné recommandé est aussi efficace contre la chlamydia31. Si la céfixime n’est pas disponible, tous les cas doivent être traités par la ceftriaxone.

Suivi

L’émergence de N gonorrhoeae résistant aux céphalosporines a créé le potentiel d’échec thérapeutique, lequel est défini comme la présence d’au moins 1 des résultats suivants (découverts dans un spécimen approprié et en l’absence de contact sexuel après le traitement) :

  • diplocoques intracellulaires Gram-négatifs à la microscopie dans les spécimens prélevés au moins 72 heures après la fin du traitement,

  • culture positive pour N gonorrhoeae dans les spécimens prélevés au moins 72 heures après la fin du traitement,

  • résultat positif au TAAN dans les spécimens prélevés au moins 2 ou 3 semaines après la fin du traitement.

Le moment recommandé pour l’administration d’un test de guérison varie en fonction de la méthode de test dans le but de réduire les faux positifs : 3 à 7 jours après la fin du traitement pour les cultures, et 2 à 3 semaines après la fin du traitement pour le TAAN36,37. Quoiqu’il soit idéal d’obtenir un test de guérison chez tous les patients infectés, il revêt une particulière dans certains cas, lesquels sont présentés dans l’Encadré 1.

Encadré 1.

Cas pour lesquels il est important d’obtenir un test de guérison

Il est important d’obtenir un test de guérison chez les patients...

  • s’ils ont une infection pharyngée

  • si l’observance du traitement est douteuse

  • s’il y a eu réexposition à un partenaire non traité

  • s’il existe des cas connus d’échec thérapeutique

  • s’ils ont reçu un antibiotique autre que la ceftriaxone ou la céfixime

  • s’ils ont été traités par des quinolones en l’absence de sensibilité confirmée

  • si la résistance antimicrobienne au traitement administré est connue ou soupçonnée

  • si le cas est lié à un autre cas dont la résistance antimicrobienne au traitement administré est connue ou si le cas est lié à un cas d’échec thérapeutique lorsque le patient avait reçu le même antibiotique

  • si l’infection survient durant la grossesse

  • si Neisseria gonorrhoeae a été isolé chez une femme subissant un avortement thérapeutique

  • en présence d’une infection gonococcique compliquée

Le dépistage des nouvelles infections doit avoir lieu systématiquement 6 mois après le traitement38.

Prévention

Prévention des réinfections : La prévention des réinfections est un élément essentiel de la prise en charge de l’infection gonococcique. Il faut aviser les patients de s’abstenir d’avoir des relations sexuelles non protégées pendant au moins 3 jours après la fin du traitement et jusqu’à ce que leurs symptômes et ceux de leurs contacts sexuels aient disparu. Ils doivent également recevoir des conseils sur le risque de réinfection et les pratiques efficaces de prévention, dont les pratiques sexuelles sûres.

Notification des partenaires : La recherche de cas et la notification des partenaires sont des stratégies cruciales de contrôle de l’infection à gonocoque. Les médecins tiennent une place importante dans l’identification des cas potentiels. La recherche de cas doit être envisagée chez toutes les personnes qui ont eu un contact sexuel avec le cas de référence dans les 60 jours précédents, et ces personnes doivent être traitées sans égard aux observations cliniques et aux résultats de laboratoire en instance39,40. La période de traçage en amont doit être prolongée si les résultats des partenaires sont négatifs pour l’infection gonococcique ou s’il y avait absence de partenaires sexuels durant les 60 jours précédents.

Déclaration aux autorités de santé publique

Dans toutes les provinces et tous les territoires, l’infection gonococcique est une maladie à déclaration obligatoire. Les échecs thérapeutiques doivent être promptement déclarés aux unités locales de santé publique, lesquelles peuvent informer les services provinciaux et territoriaux de santé publique et l’ASPC.

Conclusion

Malgré le désagrément qu’elles causent par rapport au TAAN, les cultures ont de nombreux avantages. Premièrement, les renseignements sur la sensibilité aux antibiotiques qu’elles fournissent veillent à ce que les patients aient reçu l’antibiotique approprié. Deuxièmement, les cultures informent la surveillance de la santé publique : les résultats positifs sont déclarés, puisque la gonorrhée est une maladie à déclaration obligatoire au Canada. Les renseignements sur la sensibilité permettent de mieux surveiller les tendances à la résistance. Le Laboratoire national de microbiologie suit et rapporte les tendances à la résistance aux fins d’en informer les pratiques cliniques et de santé publique.

La transition aux traitements combinés est le changement dans cette mise à jour que les médecins de famille doivent noter. Cette recommandation repose sur une revue des données portant sur la monothérapie14–25,41–47 et l’opinion d’experts sur les traitements combinés émergeants13. Toutefois, des données récentes sur les traitements combinés tirées d’essais de laboratoire34,35,48, d’observations13,49 et d’essais cliniques randomisés50 appuient cette transition. Ces études démontrent les effets additifs et synergiques de l’association de ceftriaxone et d’azithromycine34,35, de céfixime et d’azithromycine35 et de spectinomycine et d’azithromycine34. En outre, les études d’observation portent à croire que la monothérapie par une céphalosporine par voie orale s’accompagne d’un risque relatif supérieur d’échec thérapeutique comparativement à l’association ceftriaxone-azithromycine, à l’association céfixime-azithromycine et à la ceftriaxone en monothérapie13. L’analyse du délai avant l’échec thérapeutique laisse entendre que l’association ceftriaxone-azithromycine est supérieure à l’association ceftriaxone-doxycycline à 30 et à 90 jours49. Plus récemment, un essai clinique randomisé contrôlé a fait ressortir une efficacité de presque 100 % des associations gentamicine-azithromycine et gémifloxacine-azithromycine lors de la mesure de la guérison microbiologique à 10 et 17 jours50.

L’antibiothérapie combinée agit sur la gonorrhée par des mécanismes différents, et est aussi efficace contre la chlamydia (souvent concomitantes). Le traitement combiné réduit la possibilité d’échec thérapeutique et l’apparition d’une plus grande résistance antimicrobienne.

Notes

POINTS DE REPÈRE DU RÉDACTEUR

  • Les séquelles à long terme d’une infection gonococcique non traitée peuvent être graves tant chez les hommes que chez les femmes. L’émergence de gonocoques résistants aux antibiotiques (y compris aux céphalosporines), ce qui augmente la possibilité d’échec thérapeutique, est d’autant plus importante.

  • L’antibiothérapie combinée est recommandée dans le traitement de l’infection gonococcique; le choix des médicaments dépend de la population et du siège de l’infection. Par ses différents modes d’action, l’antibiothérapie combinée pourrait réduire l’échec thérapeutique et l’apparition de nouvelles résistances antimicrobiennes.

  • Lorsqu’elles sont pratiques, les cultures à titre d’outil diagnostique veillent à ce que les patients reçoivent les antibiotiques appropriés, et les résultats informent la surveillance par la santé publique : les résultats positifs sont déclarés, puisque la gonorrhée est une maladie à déclaration obligatoire au Canada. Les renseignements sur la sensibilité permettent de mieux surveiller les tendances à la résistance.

Footnotes

  • Cet article donne droit à des crédits Mainpro-M1. Pour obtenir des crédits, allez à www.cfp.ca et cliquez sur le lien vers Mainpro.

  • Cet article a fait l’objet d’une révision par des pairs.

  • The English version of this article is available at www.cfp.ca on the table of contents for the October 2015 issue on page 869.

  • Collaborateurs

    Tous les auteurs ont contribué à la recherche documentaire et à son analyse, de même qu’à la préparation du manuscrit aux fins de soumission.

  • Intérêts concurrents

    Aucun déclaré

  • Copyright© the College of Family Physicians of Canada

Références

  1. 1.↵
    1. Agence de la santé publique du Canada
    . Rapport sur les infections transmissibles sexuellement au Canada : 2010. Ottawa, ON: Agence de la santé publique du Canada; 2012. Accessible à : http://publications.gc.ca/collections/collection_2013/aspc-phac/HP37-10-2010-fra.pdf. Réf. du 11 août 2015.
  2. 2.↵
    1. Totten S,
    2. MacLean R,
    3. Payne E
    . L’infection gonococcique au Canada : 2003–2012. Relevé des maladies transmissibles au Canada 2015;41(2):26-9. Accessible à : http://www.phac-aspc.gc.ca/publicat/ccdr-rmtc/15vol41/dr-rm41-02/surv-2-fra.php. Réf. du 2 sept. 2015.
    OpenUrl
  3. 3.↵
    1. Committee on Infectious Diseases, American Academy of Pediatrics
    . Gonococcal infections. In: Pickering LK, Baker CJ, Kimberlin DW, editors. Red book: 2012. Report of the Committee on Infectious Diseases. 29 éd. Elk Grove Village, IL: American Academy of Pediatrics; 2012. p. 336-44.
  4. 4.
    1. Banikarim C,
    2. Chacko MR
    . Pelvic inflammatory disease in adolescents. Semin Pediatr Infect Dis 2005;16(3):175-80.
    OpenUrlPubMed
  5. 5.↵
    1. Burgis JT,
    2. Nawaz H 3rd.
    . Disseminated gonococcal infection in pregnancy presenting as meningitis and dermatitis. Obstet Gynecol 2006;108(3 Pt 2):798-801.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  6. 6.↵
    1. Martin I,
    2. Jayaraman G,
    3. Wong T,
    4. Liu G,
    5. Gilmour M,
    6. Réseau des Laboratoires de santé publique du Canada
    . Trends in antimicrobial resistance in Neisseria gonorrhoeae isolated in Canada: 2000–2009. Sex Transm Dis 2011;38(10):892-8.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  7. 7.↵
    1. Allen VG,
    2. Mitterni L,
    3. Seah C,
    4. Rebbapragada A,
    5. Martin I,
    6. Lee C,
    7. et al
    . Neisseria gonorrhoeae treatment failure and susceptibility to cefixime in Toronto, Canada. JAMA 2013;309(2):163-70.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  8. 8.
    1. Tapsall J
    . Multidrug-resistant Neisseria gonorrhoeae. CMAJ 2009;180(3):268-9.
    OpenUrlFREE Full Text
  9. 9.↵
    1. Martin I,
    2. Sawatzky P,
    3. Allen V,
    4. Hoang L,
    5. Lefebvre B,
    6. Mina N,
    7. et al
    . Emergence and characterization of Neisseria gonorrhoeae isolates with decreased susceptibilities to ceftriaxone and cefixime in Canada: 2001–2010. Sex Transm Dis 2012;39(4):316-23.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  10. 10.↵
    1. Organisation mondiale de la Santé
    . Global action plan to control the spread and impact of antimicrobial resistance in Neisseria gonorrhoeae. Genève, Suisse: Organisation mondiale de la Santé; 2012. Accessible à : www.who.int/reproductivehealth/publications/rtis/9789241503501/en/index.html. Réf. du 11 août 2015.
  11. 11.↵
    1. Detels R,
    2. Green AM,
    3. Klausner JD,
    4. Katzenstein D,
    5. Gaydos C,
    6. Handsfield H,
    7. et al
    . The incidence and correlates of symptomatic and asymptomatic Chlamydia trachomatis and Neisseria gonorrhoeae infections in selected populations in five countries. Sex Transm Dis 2011;38(6):503-9.
    OpenUrlPubMed
  12. 12.↵
    1. Agence de la santé publique du Canada [site web]
    . Lignes directrices canadiennes sur les infections transmissibles sexuellement. Ottawa, ON: Agence de la santé publique du Canada; 2015. Accessible à : http://www.phac-aspc.gc.ca/std-mts/sti-its/index-fra.php. Réf. du 11 août 2015.
  13. 13.↵
    1. Barbee LA,
    2. Kerani RP,
    3. Dombrowski JC,
    4. Soge OO,
    5. Golden MR
    . A retrospective comparative study of 2-drug oral and intramuscular cephalosporin treatment regimens for pharyngeal gonorrhea. Clin Infect Dis 2013;56(11):1539-45. Publication en ligne du 13 févr. 2013.
    OpenUrlAbstract/FREE Full Text
  14. 14.↵
    1. Gil-Setas A,
    2. Navascués-Ortega A,
    3. Beristain X
    . Spectinomycin in the treatment of gonorrhoea. Euro Surveill 2010;15(19):pii/19568.
    OpenUrl
  15. 15.
    1. Kojima M,
    2. Masuda K,
    3. Yada Y,
    4. Hayase Y,
    5. Muratani T,
    6. Matsumoto T
    . Single-dose treatment of male patients with gonococcal urethritis using 2 g spectinomycin: microbiological and clinical evaluations. Int J Antimicrob Agents 2008;32(1):50-4. Publication en ligne du 6 juin 2008.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  16. 16.
    1. Young H,
    2. Moyes A,
    3. McMillan A
    . Azithromycin and erythromycin resistant Neisseria gonorrhoeae following treatment with azithromycin. Int J STD AIDS 1997;8(5):299-302.
    OpenUrlAbstract/FREE Full Text
  17. 17.
    1. Habib AR,
    2. Fernando R
    . Efficacy of azithromycin 1 g single dose in the management of uncomplicated gonorrhoea. Int J STD AIDS 2004;15(4):240-2.
    OpenUrlAbstract/FREE Full Text
  18. 18.
    1. Yuan LF,
    2. Yin YP,
    3. Dai XQ,
    4. Pearline RV,
    5. Xiang Z,
    6. Unemo M,
    7. et al
    . Resistance to azithromycin of Neisseria gonorrhoeae isolates from 2 cities in China. Sex Transm Dis 2011;38(8):764-8.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  19. 19.
    1. Katz AR,
    2. Komeya AY,
    3. Soge OO,
    4. Kiaha MI,
    5. Lee MV,
    6. Wasserman GM,
    7. et al
    . Neisseria gonorrhoeae with high-level resistance to azithromycin: case report of the first isolate identified in the United States. Clin Infect Dis 2012;54(6):841-3. Publication en ligne du 19 déc. 2011.
    OpenUrlAbstract/FREE Full Text
  20. 20.
    1. Bai ZG,
    2. Bao XJ,
    3. Cheng WD,
    4. Yang KH,
    5. Li YP
    . Efficacy and safety of ceftriaxone for uncomplicated gonorrhoea: a meta-analysis of randomized controlled trials. Int J STD AIDS 2012;23(2):126-32.
    OpenUrlAbstract/FREE Full Text
  21. 21.
    1. Dunnett DM,
    2. Moyer MA
    . Cefixime in the treatment of uncomplicated gonorrhea. Sex Transm Dis 1992;19(2):92-3.
    OpenUrlPubMed
  22. 22.
    1. Portilla I,
    2. Lutz B,
    3. Montalvo M,
    4. Mogabgab WJ
    . Oral cefixime versus intramuscular ceftriaxone in patients with uncomplicated gonococcal infections. Sex Transm Dis 1992;19(2):94-8.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  23. 23.
    1. Handsfield HH,
    2. McCormack WM,
    3. Hook EW 3rd.,
    4. Douglas JM Jr.,
    5. Covino JM,
    6. Verdon MS,
    7. et al
    . A comparison of single-dose cefixime with ceftriaxone as treatment for uncomplicated gonorrhea. N Engl J Med 1991;325(19):1337-41.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  24. 24.
    1. Megran DW,
    2. Lefebvre K,
    3. Willetts V,
    4. Bowie WR
    . Single-dose oral cefixime versus amoxicillin plus probenecid for the treatment of uncomplicated gonorrhea in men. Antimicrob Agents Chemother 1990;34(2):355-7.
    OpenUrlAbstract/FREE Full Text
  25. 25.↵
    1. Chisholm SA,
    2. Mouton JW,
    3. Lewis DA,
    4. Nichols T,
    5. Ison CA,
    6. Livermore DM
    . Cephalosporin MIC creep among gonococci: time for a pharmacodynamic rethink? J Antimicrob Chemother 2010;65(10):2141-8. Publication en ligne du 6 août 2010.
    OpenUrlAbstract/FREE Full Text
  26. 26.↵
    1. Association of Public Health Laboratories
    . Laboratory diagnostic testing for Chlamydia trachomatis and Neisseria gonorrhoeae. Expert consultation meeting summary report. Atlanta, GA: Association of Public Health Laboratories; 2009. Accessible à : www.aphl.org/aphlprograms/infectious/std/documents/id_2009jan_ctgclab-guidelines-meeting-report.pdf. Réf. du 11 août 2015.
  27. 27.↵
    1. Kapala J,
    2. Biers K,
    3. Cox M,
    4. Kamionka M,
    5. Sumner J,
    6. Toor R,
    7. et al
    . Aptima combo 2 testing detected additional cases of Neisseria gonorrhoeae infection in men and women in community settings. J Clin Microbiol 2011;49(5):1970-1.
    OpenUrlAbstract/FREE Full Text
  28. 28.↵
    1. Johnson RE,
    2. Newhall WJ,
    3. Papp JR,
    4. Knapp J,
    5. Black C,
    6. Gift T,
    7. et al
    . Screening tests to detect Chlamydia trachomatis and Neisseria gonorrhoeae infections—2002. MMWR Recomm Rep 2002;51(RR-15):1-38.
    OpenUrlPubMed
  29. 29.
    1. Dillon JA
    . Sustainable antimicrobial surveillance programs essential for controlling Neisseria gonorrhoeae superbug. Sex Transm Dis 2011;38(10):899-901.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  30. 30.↵
    1. MacDonald NE,
    2. Stanbrook MB,
    3. Flegel K,
    4. Hébert PC,
    5. Rosenfield D
    . Gonorrhea: what goes around comes around. CMAJ 2011;183(14):1567. Publication en ligne du 19 sept. 2011.
    OpenUrlFREE Full Text
  31. 31.↵
    1. Lyss SB,
    2. Kamb ML,
    3. Peterman TA,
    4. Moran J,
    5. Newman D,
    6. Bolan G,
    7. et al
    . Chlamydia trachomatis among patients infected with and treated for Neisseria gonorrhoeae in sexually transmitted disease clinics in the United States. Ann Intern Med 2003;139(3):178-85.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  32. 32.↵
    1. Agence de la santé publique du Canada [site web]
    . Guide canadien d’immunisation. Ottawa, ON: Agence de la santé publique du Canada; 2015. Accessible à : http://www.phac-aspc.gc.ca/publicat/cig-gci/index-fra.php. Réf. du 12 déc. 2013.
  33. 33.↵
    1. Gale-Rowe M,
    2. Dodds J,
    3. Paquette D,
    4. Wong T
    . Synopsis of the human immunodeficiency virus (HIV) screening and testing guide. Can Commun Dis Rep 2013;39(1):2.
    OpenUrl
  34. 34.↵
    1. Furuya R,
    2. Koga Y,
    3. Irie S,
    4. Ikeda F,
    5. Kanayama A,
    6. Kobayashi I,
    7. et al
    . In vitro activities of antimicrobial combinations against clinical isolates of Neisseria gonorrhoeae. J Infect Chemother 2013;19(6):1218-20. Publication en ligne du 8 avril 2013.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  35. 35.↵
    1. Pereira R,
    2. Cole MJ,
    3. Ison CA
    . Combination therapy for gonorrhoea: in vitro synergy testing. J Antimicrob Chemother 2013;68(3):640-3. Publication en ligne du 14 nov. 2012.
    OpenUrlAbstract/FREE Full Text
  36. 36.↵
    1. Hjelmevoll SO,
    2. Olsen ME,
    3. Sollid JU,
    4. Haaheim H,
    5. Melby K,
    6. Moi H,
    7. et al
    . Appropriate time for test-of-cure when diagnosing gonorrhoea with a nucleic acid amplification test. Acta Derm Venereol 2012;92(3):316-9.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  37. 37.↵
    1. Bachmann LH,
    2. Desmond RA,
    3. Stephens J,
    4. Hughes A,
    5. Hook EW 3rd.
    . Duration of persistence of gonococcal DNA detected by ligase chain reaction in men and women following recommended therapy for uncomplicated gonorrhea. J Clin Microbiol 2002;40(10):3596-601.
    OpenUrlAbstract/FREE Full Text
  38. 38.↵
    1. De P,
    2. Singh AE,
    3. Wong T,
    4. Kaida A
    . Predictors of gonorrhea reinfection in a cohort of sexually transmitted disease patients in Alberta, Canada, 1991–2003. Sex Transm Dis 2007;34(1):30-6.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  39. 39.↵
    1. Centers for Disease Control and Prevention
    . Update to CDC’s sexually transmitted diseases treatment guidelines, 2010: oral cephalosporins no longer a recommended treatment for gonococcal infections. MMWR Morb Mortal Wkly Rep 2012;61(31):590-4.
    OpenUrlPubMed
  40. 40.↵
    1. Workowski KA,
    2. Berman S,
    3. Centers for Disease Control and Prevention
    . Sexually transmitted diseases treatment guidelines, 2010. MMWR Recomm Rep 2010;59(RR-12):1-110. Erratum dans: MMWR Recomm Rep 2011;60(1):18.
    OpenUrlPubMed
  41. 41.↵
    1. Tapsall JW
    . What management is there for gonorrhea in the postquinolone era? Sex Transm Dis 2006;33(1):8-10.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  42. 42.
    1. Tapsall J,
    2. Read P,
    3. Carmody C,
    4. Bourne C,
    5. Ray S,
    6. Limnios A,
    7. et al
    . Two cases of failed ceftriaxone treatment in pharyngeal gonorrhoea verified by molecular microbiological methods. J Med Microbiol 2009;58(Pt 5):683-7.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  43. 43.
    1. Handsfield HH,
    2. Dalu ZA,
    3. Martin DH,
    4. Douglas JM Jr.,
    5. McCarty JM,
    6. Schlossberg D,
    7. et al
    . Multicenter trial of single-dose azithromycin vs. ceftriaxone in the treatment of uncomplicated gonorrhea. Sex Transm Dis 1994;21(2):107-11.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  44. 44.
    1. Bignell C,
    2. Garley J
    . Azithromycin in the treatment of infection with Neisseria gonorrhoeae. Sex Transm Infect 2010;86(6):422-6.
    OpenUrlAbstract/FREE Full Text
  45. 45.
    1. Ramus RM,
    2. Sheffield JS,
    3. Mayfield JA,
    4. Wendel GD Jr.
    . A randomized trial that compared oral cefixime and intramuscular ceftriaxone for the treatment of gonorrhea in pregnancy. Am J Obstet Gynecol 2001;185(3):629-32.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  46. 46.
    1. Ota KV,
    2. Fisman DN,
    3. Tamari IE,
    4. Smieja M,
    5. Ng LK,
    6. Jones KE,
    7. et al
    . Incidence and treatment outcomes of pharyngeal Neisseria gonorrhoeae and Chlamydia trachomatis infections in men who have sex with men: a 13-year retrospective cohort study. Clin Infect Dis 2009;48(9):1237-43.
    OpenUrlAbstract/FREE Full Text
  47. 47.↵
    1. Dan M,
    2. Poch F,
    3. Amitai Z,
    4. Gefen D,
    5. Shohat T
    . Pharyngeal gonorrhea in female sex workers: response to a single 2-g dose of azithromycin. Sex Transm Dis 2006;33(8):512-5.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  48. 48.↵
    1. Hottes TS,
    2. Lester RT,
    3. Hoang LM,
    4. McKay R,
    5. Imperial M,
    6. Gilbert M,
    7. et al
    . Cephalosporin and azithromycin susceptibility in Neisseria gonorrhoeae isolates by site of infection, British Columbia, 2006 to 2011. Sex Transm Dis 2013;40(1):46-51.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  49. 49.↵
    1. Schumacher CM,
    2. Ghanem KG
    . Retreatment rates for uncomplicated gonorrhea infection: comparing ceftriaxone and azithromycin versus ceftriaxone and doxycycline. Sex Transm Dis 2013;40(7):539-45.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  50. 50.↵
    1. Kirkcaldy RD,
    2. Weinstock HS,
    3. Moore PC,
    4. Philip SS,
    5. Wiesenfeld HC,
    6. Papp JR,
    7. et al
    . The efficacy and safety of gentamicin plus azithromycin and gemifloxacin plus azithromycin as treatment of uncomplicated gonorrhea. Clin Infect Dis 2014;59(8):1083-91. Publication en ligne du 16 juillet 2014.
    OpenUrlAbstract/FREE Full Text
PreviousNext
Back to top

In this issue

Canadian Family Physician: 61 (10)
Canadian Family Physician
Vol. 61, Issue 10
1 Oct 2015
  • Table of Contents
  • About the Cover
  • Index by author
Print
Download PDF
Article Alerts
Sign In to Email Alerts with your Email Address
Email Article

Thank you for your interest in spreading the word on The College of Family Physicians of Canada.

NOTE: We only request your email address so that the person you are recommending the page to knows that you wanted them to see it, and that it is not junk mail. We do not capture any email address.

Enter multiple addresses on separate lines or separate them with commas.
Prise en charge de l’infection gonococcique chez les adultes et les jeunes
(Your Name) has sent you a message from The College of Family Physicians of Canada
(Your Name) thought you would like to see the The College of Family Physicians of Canada web site.
CAPTCHA
This question is for testing whether or not you are a human visitor and to prevent automated spam submissions.
Citation Tools
Prise en charge de l’infection gonococcique chez les adultes et les jeunes
Lisa Pogany, Barbara Romanowski, Joan Robinson, Margaret Gale-Rowe, Cathy Latham-Carmanico, Christine Weir, Tom Wong
Canadian Family Physician Oct 2015, 61 (10) e451-e456;

Citation Manager Formats

  • BibTeX
  • Bookends
  • EasyBib
  • EndNote (tagged)
  • EndNote 8 (xml)
  • Medlars
  • Mendeley
  • Papers
  • RefWorks Tagged
  • Ref Manager
  • RIS
  • Zotero
Respond to this article
Share
Prise en charge de l’infection gonococcique chez les adultes et les jeunes
Lisa Pogany, Barbara Romanowski, Joan Robinson, Margaret Gale-Rowe, Cathy Latham-Carmanico, Christine Weir, Tom Wong
Canadian Family Physician Oct 2015, 61 (10) e451-e456;
del.icio.us logo Digg logo Reddit logo Twitter logo CiteULike logo Facebook logo Google logo Mendeley logo
  • Tweet Widget
  • Facebook Like
  • Google Plus One

Jump to section

  • Article
    • Qualité des données
    • Message principal
    • Conclusion
    • Notes
    • Footnotes
    • Références
  • Figures & Data
  • Info & Metrics
  • eLetters
  • PDF

Related Articles

  • Management of gonococcal infection among adults and youth
  • Google Scholar

Cited By...

  • No citing articles found.
  • Google Scholar

More in this TOC Section

Pratique

  • Prise en charge du diabète de type 2 en soins primaires durant la pandémie de la COVID-19
  • Pneumothorax spontané chez l’enfant
  • Approche diagnostique et de prise en charge du trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité chez l’enfant
Show more Pratique

Révision clinique

  • Abécédaire de la maladie de Parkinson, partie 1 : le diagnostic
  • Prescriptions pour les complications courantes des lésions de la moelle épinière
  • Traitement antidépresseur personnalisé pour les patients souffrant d’un trouble dépressif caractérisé
Show more Révision clinique

Similar Articles

Subjects

  • Collection française
    • Révisions cliniques

Navigate

  • Home
  • Current Issue
  • Archive
  • Collections - English
  • Collections - Française

For Authors

  • Authors and Reviewers
  • Submit a Manuscript
  • Permissions
  • Terms of Use

General Information

  • About CFP
  • About the CFPC
  • Advertisers
  • Careers & Locums
  • Editorial Advisory Board
  • Subscribers

Journal Services

  • Email Alerts
  • Twitter
  • RSS Feeds

Copyright © 2023 by The College of Family Physicians of Canada

Powered by HighWire