Skip to main content

Main menu

  • Home
  • Articles
    • Current
    • Published Ahead of Print
    • Archive
    • Supplemental Issues
    • Collections - French
    • Collections - English
  • Info for
    • Authors & Reviewers
    • Submit a Manuscript
    • Advertisers
    • Careers & Locums
    • Subscribers
    • Permissions
  • About CFP
    • About CFP
    • About the CFPC
    • Editorial Advisory Board
    • Terms of Use
    • Contact Us
  • Feedback
    • Feedback
    • Rapid Responses
    • Most Read
    • Most Cited
    • Email Alerts
  • Blogs
    • Latest Blogs
    • Blog Guidelines
    • Directives pour les blogues
  • Mainpro+ Credits
    • About Mainpro+
    • Member Login
    • Instructions
  • Other Publications
    • http://www.cfpc.ca/Canadianfamilyphysician/
    • https://www.cfpc.ca/Login/
    • Careers and Locums

User menu

  • My alerts

Search

  • Advanced search
The College of Family Physicians of Canada
  • Other Publications
    • http://www.cfpc.ca/Canadianfamilyphysician/
    • https://www.cfpc.ca/Login/
    • Careers and Locums
  • My alerts
The College of Family Physicians of Canada

Advanced Search

  • Home
  • Articles
    • Current
    • Published Ahead of Print
    • Archive
    • Supplemental Issues
    • Collections - French
    • Collections - English
  • Info for
    • Authors & Reviewers
    • Submit a Manuscript
    • Advertisers
    • Careers & Locums
    • Subscribers
    • Permissions
  • About CFP
    • About CFP
    • About the CFPC
    • Editorial Advisory Board
    • Terms of Use
    • Contact Us
  • Feedback
    • Feedback
    • Rapid Responses
    • Most Read
    • Most Cited
    • Email Alerts
  • Blogs
    • Latest Blogs
    • Blog Guidelines
    • Directives pour les blogues
  • Mainpro+ Credits
    • About Mainpro+
    • Member Login
    • Instructions
  • RSS feeds
  • Follow cfp Template on Twitter
Research ArticlePratique

Le sumatriptan intranasal pour la migraine chez les enfants

Ran D. Goldman and Garth D. Meckler
Canadian Family Physician May 2015, 61 (5) 439-441;
Ran D. Goldman
  • Find this author on Google Scholar
  • Find this author on PubMed
  • Search for this author on this site
  • For correspondence: rgoldman@cw.bc.ca
Garth D. Meckler
  • Find this author on Google Scholar
  • Find this author on PubMed
  • Search for this author on this site
  • Article
  • eLetters
  • Info & Metrics
  • PDF
Loading

La migraine est courante chez les enfants; elle fait son apparition en moyenne à l’âge de 7 ans chez les garçons et de 11 ans chez les filles, et sa prévalence varie de 8 à 23 % à l’âge de 15 ans1–3. Elle cause une morbidité considérable associée aux absences de l’école, à une moins grande participation à des sports et même à la dépression4,5.

La pathogenèse de la migraine est multifactorielle6 et son diagnostic repose sur les symptômes. (Pour plus de renseignements, consultez les classifications des céphalées de l’International Headache Society7.)

Le traitement de la migraine

La migraine aiguë est difficile à traiter chez les enfants8 et, en dépit des paramètres publiés1, les pratiques thérapeutiques varient considérablement9,10. La thérapie a pour but de court-circuiter l’épisode aigu, d’éliminer la douleur, de reprendre les activités scolaires et physiques normales et de réduire le stress relié à des céphalées récurrentes chez les enfants et leur famille11. Le choix du médicament doit tenir compte des caractéristiques pharmacocinétiques et pharmacodynamiques et du profil de sécurité d’une thérapie avec un seul ou plusieurs médicaments11.

Divers agents pharmacologiques ont été utilisés comme thérapie abortive pour la migraine pédiatrique, dont les anti-inflammatoires non stéroïdiens et l’acétaminophène, les triptans et les antagonistes de la dopamine. Les évaluations de l’efficacité de ces traitements chez les enfants et les adolescents sont limitées par le petit nombre d’études randomisées contrôlées, et compliquées par les taux plus élevés d’effets placebo chez les enfants et les adolescents par rapport aux adultes12. Toutefois, dans un récent essai randomisé à simple insu comportant des volets parallèles et portant sur 45 enfants de 5 à 17 ans ayant un épisode de migraine créant une attente qu’un « médicament » serait administré avec 10 ml/kg de chlorure de sodium à 0,9 % par voie intraveineuse, il n’y a pas eu d’influence significative sur la réduction de la céphalée après 30 minutes13.

L’approche thérapeutique de la migraine inclut le soulagement des symptômes aigus, ainsi que la prévention des épisodes au moyen d’une combinaison de thérapie abortive immédiate et de modifications au comportement et au style de vie (p. ex. adoption d’une bonne hygiène du sommeil, activité physique, régime alimentaire équilibré et évitement des éléments déclencheurs connus).

Le sumatriptan

Pour expliquer la migraine, on a proposé une cause neurovasculaire entraînant une vasodilatation crânienne et il a été démontré que la sérotonine (5-hydroxytryptamine [5-HT]) inhibait cette cascade. L’élucidation de ce processus a mené au développement d’une classe de médicaments synthétiques, les triptans, qui agissent comme des agonistes sélectifs du recaptage de la sérotonine. Le sumatriptan fut le premier triptan à être homologué pour les adultes souffrant de migraine et il est disponible sous forme intraveineuse, orale ou intranasale.

Le mécanisme d’action exact du sumatriptan n’est pas complètement bien compris, mais il s’agit probablement de l’effet combiné d’une stimulation des sous-types de récepteurs de la sérotonine : la stimulation du récepteur 5-HT1B entraîne une vasoconstriction, tandis que l’activation du récepteur 5-HT1D inhibe l’inflammation neurogène durale, et la stimulation du récepteur dans le tronc cérébral inhibe la décharge et la sensibilisation dans les noyaux du trijumeau, causant de possibles effets analgésiques14,15.

L’administration intranasale de médicaments

L’administration de médicaments par voie intranasale est utilisée depuis des centaines d’années16 et son efficacité provient de l’accès aisé à la muqueuse nasale, au riche approvisionnement vasculaire et à l’atteinte rapide de niveaux pharmacocinétiques efficaces, possiblement par le contournement du métabolisme hépatique de premier passage17,18. Il est documenté que l’administration intranasale de médicaments est efficace pour un certain nombre d’indications (habituellement comme traitements « non indiqués » sur l’étiquette)19, notamment les convulsions20 et la sédation16. Parce que la migraine est souvent associée à de la nausée et à des symptômes gastro-intestinaux qui peuvent se traduire par une absorption non fiable des médicaments oraux, la voie intranasale d’administration comporte théoriquement des avantages et est moins invasive que les voies sous-cutanée ou intraveineuse d’administration des médicaments.

Le sumatriptan intranasal pour la migraine

Le sumatriptan intranasal est homologué pour le traitement de la migraine avec ou sans aura chez les adolescents en Europe, en Asie, en Australie et en Amérique centrale15. Aux États-Unis, la Child Neurology Society recommande l’ibuprofène et l’acétaminophène pour les enfants de 6 à 12 ans, et le sumatriptan intranasal pour les adolescents de plus de 12 ans1.

Avant le tournant du siècle, Ueberall et Wenzel ont signalé une efficacité allant jusqu’à 86 % chez 14 enfants de 6 à 10 ans dans une étude croisée randomisée contre placebo et à double insu dans laquelle ils utilisaient 20 mg de sumatriptan intranasal; ils ont démontré une réduction significative dans l’intensité de la douleur migraineuse (p = ,031)21. Peu après, Winner et ses collaborateurs ont rapporté que le sumatriptan intranasal était efficace et bien toléré chez 653 adolescents de 12 à 17 ans souffrant de migraine avec ou sans aura22. L’étude randomisée à double insu contre placebo sur un épisode unique a fait valoir qu’une proportion significativement plus grande d’adolescents traités avec 20 mg de sumatriptan ont connu un soulagement complet après 2 heures par rapport à ceux qui ont reçu un placebo (36 % c. 25 %; p < ,01). La photophobie et la phonophobie associées à la migraine étaient aussi diminuées considérablement. En 2006, les mêmes chercheurs ont étudié 738 adolescents souffrant d’un épisode de migraine de modérée à grave et ont constaté qu’une dose 20 mg de sumatriptan intranasal procurait un plus grand soulagement de la céphalée que le placebo 2 heures après le traitement (68 % c. 58 %; p= ,025)23. Dans cette étude et à l’analyse des données combinées des 2 études, il n’y avait aucune différence significative entre le placebo et une dose intranasale de 5 mg ou encore de 10 mg de sumatriptan. Un tiers des participants ont eu besoin de médicaments de secours dans tous les groupes participant à cette étude.

Dans une autre étude croisée à 2 sens et à double insu contre placebo en Finlande24, des enfants de 8 à 17 ans traités dans des cliniques externes ont reçu 10 ou 20 mg de sumatriptan intranasal ou un placebo. Près du double du nombre d’enfants dans le groupe prenant du sumatriptan ont connu un soulagement de leur céphalée par rapport à ceux du groupe ayant reçu un placebo 1 heure (51 % c. 29 %; p = ,014) et 2 heures (64 % c. 39 %; p = ,003) après le traitement. Comme dans les autres études, la dose de 20 mg (de même que dans les analyses en intention de traiter) était la plus efficace. Plus d’un tiers des enfants ont décidé de prendre avantage d’un analgésique de secours qui leur était offert, et une plus grande part encore dans le groupe traité au placebo.

Deux révisions systématiques ont fait la synthèse des données probantes sur l’utilisation du sumatriptan intranasal chez les enfants et les adolescents, et les 2 ont conclu que ce médicament était efficace et bien toléré pour le traitement de la migraine aiguë chez les enfants et les adolescents25,26. Dans leur révision en 2007, Callenbach et ses collègues ont signalé les résultats de 7 études qui variaient sur les plans de la conception, de la sélection des patients et du schéma thérapeutique26. Ils ont mentionné que les plus jeunes enfants pourraient avoir eu une meilleure réponse au sumatriptan que les adolescents, peut-être en raison d’une concentration plasmique plus élevée (dose plus élevée en mg/kg pour les plus jeunes enfants).

Enfin, dans une méta-analyse d’études évaluant le traitement de la migraine aiguë chez les enfants, Silver et ses collaborateurs ont trouvé que l’ibuprofène et le sumatriptan étaient les seuls médicaments dont l’efficacité était significativement plus élevée sur le plan statistique par comparaison au placebo. Ils ont signalé que le sumatriptan offrait un bienfait relatif de 1,26 (IC à 95 % de 1,13 à 1,41) pour la réduction de la douleur de la céphalée (nombre nécessaire à traiter = 7,4) et un bienfait relatif de 1,56 (IC à 95 % de 1,26 à 1,93) pour un soulagement complet de la douleur (nombre nécessaire à traiter = 6,9)27.

Innocuité

L’administration intranasale de sumatriptan est généralement sécuritaire et ne cause pas d’événements indésirables graves associés au médicament ni de changements cliniquement pertinents dans les valeurs d’analyses en laboratoire, les paramètres de conduction cardiaque ou les signes vitaux. Un dérangement dans le goût était l’effet indésirable le plus souvent signalé dans diverses études (19 à 32 % c. 2 % avec le placebo)22–24. Les effets secondaires du sumatriptan intranasal moins souvent rapportés incluaient la nausée (5 à 11 % c. 8 % avec le placebo) et les vomissements (3 à 5 % c. 2 % avec le placebo)15.

Conclusion

Il est difficile de traiter la céphalée migraineuse aiguë chez les enfants et les adolescents et, en dépit de la disponibilité de divers agents pharmacologiques, très peu d’options sont éprouvées comme étant cliniquement efficaces. Le sumatriptan intranasal est une option sûre et généralement efficace pour les enfants et les adolescents. Il faudrait faire d’autres études pour contrecarrer les limitations des échantillons de petite taille et mieux comprendre la faible concentration plasmique potentielle et les effets placebo observés dans les études jusqu’à présent.

Notes

PRETx

Mise à jour sur la santé des enfants est produite par le programme de recherche en thérapeutique d’urgence pédiatrique (PRETx à www.pretx.org) du BC Children’s Hospital à Vancouver, en Colombie-Britannique. Le Dr Meckler est membre et le Dr Goldman est directeur du programme PRETx. Le programme PRETx a pour mission de favoriser la santé des enfants en effectuant de la recherche fondée sur les données probantes en thérapeutique dans le domaine de la médecine d’urgence pédiatrique.

Avez-vous des questions sur les effets des médicaments, des produits chimiques, du rayonnement ou des infections chez les enfants? Nous vous invitons à les poser au programme PRETx par télécopieur au 604 875-2414; nous y répondrons dans de futures Mises à jour sur la santé des enfants. Les Mises à jour sur la santé des enfants publiées sont accessibles dans le site web du Médecin de famille canadien (www.cfp.ca).

Footnotes

  • Cet article donne droit à des crédits Mainpro-M1. Pour obtenir des crédits, allez à www.cfp.ca et cliquez sur le lien vers Mainpro.

  • This article is also in English on page 421

  • Intérêts concurrents

    Aucun déclaré

  • Copyright© the College of Family Physicians of Canada

Références

  1. 1.↵
    1. Lewis D,
    2. Ashwal S,
    3. Hershey A,
    4. Hirtz D,
    5. Yonker M,
    6. Silberstein S
    . Practice parameter: pharmacological treatment of migraine headache in children and adolescents: report of the American Academy of Neurology Quality Standards Subcommittee and the Practice Committee of the Child Neurology Society. Neurology 2004;63(12):2215-24.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  2. 2.
    1. Abu-Arefeh I,
    2. Russell G
    . Prevalence of headache and migraine in school-children. BMJ 1994;309(6957):765-9.
    OpenUrlAbstract/FREE Full Text
  3. 3.↵
    1. Mortimer MJ,
    2. Kay J,
    3. Jaron A
    . Childhood migraine in general practice: clinical features and characteristics. Cephalalgia 1992;12(4):238-43.
    OpenUrlAbstract/FREE Full Text
  4. 4.↵
    1. Powers SW,
    2. Patton SR,
    3. Hommel KA,
    4. Hershey AD
    . Quality of life in paediatric migraine: characterization of age-related effects using PedsQL 4.0. Cephalalgia 2004;24(2):120-7.
    OpenUrlAbstract/FREE Full Text
  5. 5.↵
    1. Ferracini GN,
    2. Dach F,
    3. Speciali JG
    . Quality of life and health-related disability in children with migraine. Headache 2014;54(2):325-34. Publ. en ligne du 29 oct. 2013.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  6. 6.↵
    1. Gentile G,
    2. Chiossi L,
    3. Lionetto L,
    4. Martelletti P,
    5. Borro M
    . Pharmacogenetic insights into migraine treatment in children. Pharmacogenomics 2014;15(11):1539-50.
    OpenUrlPubMed
  7. 7.↵
    1. International Headache Society
    . The international classification of headache disorders. 2e éd. Londres, RU: International Headache Society; 2004. Accessible à: http://ihs-classification.org/_downloads/mixed/WatermarkedShortForm%20ICHD-II.pdf. Réf. du 24 mars 2015.
  8. 8.↵
    1. Sheridan DC,
    2. Spiro DM,
    3. Meckler GD
    . Pediatric migraine: abortive management in the emergency department. Headache 2014;54(2):235-45. Publ. en ligne du 29 oct. 2013.
    OpenUrlPubMed
  9. 9.↵
    1. Richer LP,
    2. Laycock K,
    3. Millar K,
    4. Fitzpatrick E,
    5. Khangura S,
    6. Bhatt M,
    7. et al
    . Treatment of children with migraine in emergency departments: national practice variation study. Pediatrics 2010;126(1):e150-5. Publ. en ligne du 7 juin 2010.
    OpenUrlAbstract/FREE Full Text
  10. 10.↵
    1. Sheridan DC,
    2. Meckler GD,
    3. Spiro DM,
    4. Koch TK,
    5. Hansen ML
    . Diagnostic testing and treatment of pediatric headache in the emergency department. J Pediatr 2013;163(6):1634-7. Publ. en ligne du 20 août 2013.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  11. 11.↵
    1. Toldo I,
    2. De Carlo D,
    3. Bolzonella B,
    4. Sartori S,
    5. Battistella PA
    . The pharmacological treatment of migraine in children and adolescents: an overview. Expert Rev Neurother 2012;12(9):1133-42.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  12. 12.↵
    1. Fernandes R,
    2. Ferreira JJ,
    3. Sampaio C
    . The placebo response in studies of acute migraine. J Pediatr 2008;152(4):527-33. Publ. en ligne du 3 déc. 2007.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  13. 13.↵
    1. Richer L,
    2. Craig W,
    3. Rowe B
    . Randomized controlled trial of treatment expectation and intravenous fluid in pediatric migraine. Headache 2014;54(9):1496-505. Publ. en ligne du 28 août 2014.
    OpenUrlPubMed
  14. 14.↵
    1. Bateman DN
    . Triptans and migraine. Lancet 2000;355(9207):860-1.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  15. 15.↵
    1. Curran MP,
    2. Evans HC,
    3. Wagstaff AJ
    . Intranasal sumatriptan: in adolescents with migraine. CNS Drugs 2005;19(4):335-43.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  16. 16.↵
    1. Goldman RD
    . Intranasal drug delivery for children with acute illness. Curr Drug Ther 2006;1:127-30.
    OpenUrl
  17. 17.↵
    1. Vyas TK,
    2. Babbar AK,
    3. Sharma RK,
    4. Singh S,
    5. Misra A
    . Preliminary brain-targeting studies on intranasal mucoadhesive microemulsions of sumatriptan. AAPS PharmSciTech 2006;7(1):E8.
    OpenUrlPubMed
  18. 18.↵
    1. Fuseau E,
    2. Petricoul O,
    3. Moore KH,
    4. Barrow A,
    5. Ibbotson T
    . Clinical pharmacokinetics of intranasal sumatriptan. Clin Pharmacokinet 2002;41(11):801-11.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  19. 19.↵
    1. Chung S,
    2. Lim R,
    3. Goldman RD
    . Intranasal fentanyl versus placebo for pain in children during catheterization for voiding cystourethrography. Pediatr Radiol 2010;40(7):1236-40. Publ. en ligne du 24 févr. 2010.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  20. 20.↵
    1. Klein-Kremer A,
    2. Goldman RD
    . Intranasal midazolam for treatment of seizures in children in the emergency setting. Isr J Emerg Med 2007;7(2):31-5.
    OpenUrl
  21. 21.↵
    1. Ueberall MA,
    2. Wenzel D
    . Intranasal sumatriptan for the acute treatment of migraine in children. Neurology 1999;52(7):1507-10.
    OpenUrlCrossRef
  22. 22.↵
    1. Winner P,
    2. Rothner AD,
    3. Saper J,
    4. Nett R,
    5. Asgharnejad M,
    6. Laurenza A,
    7. et al
    . A randomized, double-blind, placebo-controlled study of sumatriptan nasal spray in the treatment of acute migraine in adolescents. Pediatrics 2000;106(5):989-97.
    OpenUrlAbstract/FREE Full Text
  23. 23.↵
    1. Winner P,
    2. Rothner AD,
    3. Wooten JD,
    4. Webster C,
    5. Ames M
    . Sumatriptan nasal spray in adolescent migraineurs: a randomized, double-blind, placebo-controlled, acute study. Headache 2006;46(2):212-22.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  24. 24.↵
    1. Ahonen K,
    2. Hamalainen ML,
    3. Rantala H,
    4. Hoppu K
    . Nasal sumatriptan is effective in treatment of migraine attacks in children: a randomized trial. Neurology 2004;62(6):883-7.
    OpenUrlCrossRef
  25. 25.↵
    1. Damen L,
    2. Bruijn JK,
    3. Verhagen AP,
    4. Berger MY,
    5. Passchier J,
    6. Koes BW
    . Symptomatic treatment of migraine in children: a systematic review of medication trials. Pediatrics 2005;116(2):e295-302.
    OpenUrlAbstract/FREE Full Text
  26. 26.↵
    1. Callenbach PM,
    2. Pels L,
    3. Mulder P,
    4. Linssen WH,
    5. Gooskens RH,
    6. van der Zwan JL,
    7. et al
    . Sumatriptan nasal spray in the acute treatment of migraine in adolescents and children. Eur J Paediatr Neurol 2007;11(6):325-30. Epub 2007 Apr 10.
    OpenUrlCrossRefPubMed
  27. 27.↵
    1. Silver S,
    2. Gano D,
    3. Gerretsen P
    . Acute treatment of paediatric migraine: a meta-analysis of efficacy. J Paediatr Child Health 2008;44(1–2):3-9. Publ. en ligne du 14 sept. 2007.
    OpenUrlPubMed
PreviousNext
Back to top

In this issue

Canadian Family Physician: 61 (5)
Canadian Family Physician
Vol. 61, Issue 5
1 May 2015
  • Table of Contents
  • About the Cover
  • Index by author
Print
Download PDF
Article Alerts
Sign In to Email Alerts with your Email Address
Email Article

Thank you for your interest in spreading the word on The College of Family Physicians of Canada.

NOTE: We only request your email address so that the person you are recommending the page to knows that you wanted them to see it, and that it is not junk mail. We do not capture any email address.

Enter multiple addresses on separate lines or separate them with commas.
Le sumatriptan intranasal pour la migraine chez les enfants
(Your Name) has sent you a message from The College of Family Physicians of Canada
(Your Name) thought you would like to see the The College of Family Physicians of Canada web site.
CAPTCHA
This question is for testing whether or not you are a human visitor and to prevent automated spam submissions.
Citation Tools
Le sumatriptan intranasal pour la migraine chez les enfants
Ran D. Goldman, Garth D. Meckler
Canadian Family Physician May 2015, 61 (5) 439-441;

Citation Manager Formats

  • BibTeX
  • Bookends
  • EasyBib
  • EndNote (tagged)
  • EndNote 8 (xml)
  • Medlars
  • Mendeley
  • Papers
  • RefWorks Tagged
  • Ref Manager
  • RIS
  • Zotero
Respond to this article
Share
Le sumatriptan intranasal pour la migraine chez les enfants
Ran D. Goldman, Garth D. Meckler
Canadian Family Physician May 2015, 61 (5) 439-441;
Reddit logo Twitter logo Facebook logo Mendeley logo
  • Tweet Widget
  • Facebook Like
  • Google Plus One

Jump to section

  • Article
    • Le traitement de la migraine
    • Le sumatriptan
    • L’administration intranasale de médicaments
    • Le sumatriptan intranasal pour la migraine
    • Innocuité
    • Conclusion
    • Notes
    • Footnotes
    • Références
  • Info & Metrics
  • eLetters
  • PDF

Related Articles

  • Intranasal sumatriptan for migraine in children
  • Approach to autism spectrum disorder
  • Google Scholar

Cited By...

  • No citing articles found.
  • Google Scholar

More in this TOC Section

Pratique

  • Prise en charge du diabète de type 2 en soins primaires durant la pandémie de la COVID-19
  • Pneumothorax spontané chez l’enfant
  • Approche diagnostique et de prise en charge du trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité chez l’enfant
Show more Pratique

Mise à jour sur la santé des enfants

  • Les effets sur le langage d’une implantation cochléaire
  • Les β2-agonistes pour la bronchiolite virale
  • Radiographies du crâne après un traumatisme crânien mineur chez les enfants de moins de 2 ans
Show more Mise à jour sur la santé des enfants

Similar Articles

Subjects

  • Collection française
    • Mise à jour sur la santé des enfants

Navigate

  • Home
  • Current Issue
  • Archive
  • Collections - English
  • Collections - Française

For Authors

  • Authors and Reviewers
  • Submit a Manuscript
  • Permissions
  • Terms of Use

General Information

  • About CFP
  • About the CFPC
  • Advertisers
  • Careers & Locums
  • Editorial Advisory Board
  • Subscribers

Journal Services

  • Email Alerts
  • Twitter
  • RSS Feeds

Copyright © 2023 by The College of Family Physicians of Canada

Powered by HighWire