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Les lignes directrices en soins primaires devraient-elles être rédigées par des médecins de famille?

OUI

G. Michael Allan
Canadian Family Physician September 2016, 62 (9) 708-710;
G. Michael Allan
Professeur et directeur de la médecine fondée sur des données probantes au Département de médecine familiale de l’Université de l’Alberta à Edmonton.
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  • For correspondence: mgallan@ualberta.ca
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Les médecins de famille forment environ la moitié de l’effectif médical au Canada et représentent 68 % des consultations en santé au pays1. Les normes selon lesquelles les médecins de famille fournissent des soins dans le pays découlent, au moins en partie, de lignes directrices. Or, combien de médecins de famille participent-ils à la rédaction de ces lignes directrices? Dans l’ensemble, les médecins de famille représentent 17 % des collaborateurs aux guides de pratique clinique en soins primaires2. En revanche, nos collègues spécialistes constituent 54 % de ces collaborateurs2.

Les croyances qui justifient le statu quo

Vous vous demandez peut-être comment il se fait qu’un groupe qui assure la prestation de 68 % des soins n’est représenté qu’à 17 % parmi ceux qui définissent comment les soins devraient être fournis. Passons en revue certaines des justifications potentielles expliquant cette contradiction.

Les spécialistes connaissent les données probantes.

Peut-être, mais la recherche indique que leur interprétation des données probantes pourrait être biaisée par leurs opinions antérieures et, par conséquent, leur examen des données probantes est de qualité inférieure3. De fait, plus grande est leur expertise dans un domaine, plus il est probable que leur analyse soit erronée3.

Les spécialistes connaissent les innovations et les produits les plus récents.

Les spécialistes membres de comités de guides de pratique clinique sont fréquemment d’importants leaders d’opinion et, malheureusement, plusieurs d’entre eux ont d’étroites associations avec l’industrie4. Selon la recherche, environ les 2/3 des auteurs de lignes directrices ont des conflits d’intérêts5. Au Canada, les conflits d’intérêts sont signalés dans seulement 31 % des guides de pratique et, quand ils le sont, de tels conflits sont plus courants chez les spécialistes que chez les médecins de famille (49 % c. 28 %)2. Nous savons que les affiliations avec l’industrie influencent les recommandations concernant l’inclusion de médicaments sur les formulaires6 et le soutien à des produits7. De plus, les conflits d’intérêts sont parfois plus directs. Par exemple, une plus grande participation de radiologistes dans les lignes directrices sur la mammographie s’est traduite par des recommandations de les commencer plus tôt (à 40 ans) que c’était le cas lorsque des cliniciens de soins primaires étaient impliqués8.

Les soins des médecins de famille sont de qualité inférieure.

On croit couramment que les médecins de famille fournissent des soins de qualité inférieure, une idée fausse à laquelle souscrivent souvent les médecins de famille eux-mêmes. Par ailleurs, les populations où les effectifs en soins primaires sont plus nombreux ont de meilleurs résultats sur le plan de la santé9. Certains chercheurs en sont même arrivés à une formule : dans une population de 10 000, la mortalité diminue de 3,5 fois pour chaque médecin de famille ajouté par opposition à une augmentation de 1,5 fois pour chaque spécialiste additionnel10. Des données probantes plus récentes font valoir que les médecins de famille sont les professionnels de la santé les plus importants pour obtenir des résultats dans le cancer du sein11, l’insuffisance cardiaque12 et l’insuffisance rénale13. Ces résultats impressionnants se produisent malgré le fait que les médecins de famille ont davantage de visites par des patients à morbidité plus élevée que leurs collègues spécialistes14.

Des experts en soins primaires

Face à ces arguments erronés, que reste-t-il? Nous devons confronter la réalité du fait que les médecins de famille et les autres spécialistes ont des pratiques différentes. Cette situation se manifeste sous la forme de ce qu’on appelle le biais de spectre15. Ce que nous voyons, qui nous voyons, comment nous les voyons, nos relations avec les patients et bien d’autres choses encore sont profondément différents. Alors, lorsque 50 % de toutes les recommandations des lignes directrices ne se fondent sur rien d’autre que l’opinion d’experts16,17, ne devrions-nous pas nous fier aux véritables experts en soins primaires? Comment nos collègues aux pratiques limitées peuvent-ils espérer offrir des conseils pour l’intégralité de notre pratique? C’est par cette folie que les lignes directrices sont passées de suggestions pratiques à un dogme irrationnel.

D’abord, nous sommes submergés de recommandations. Si nous devions suivre les guides de pratique clinique, il faudrait 18 heures par jour à un médecin de famille pour prendre en charge la maladie chronique et fournir des soins préventifs18,19. De plus, le nombre des recommandations dans ces guides ne cesse d’augmenter16. Lorsqu’on met l’accent sur le dépistage et la maladie chronique, dont les nombres de cas nécessaires à traiter sont relativement faibles, nos patients font les frais de nos possibilités perdues de donner des soins pour des problèmes aigus et des maladies symptomatiques pour lesquels nous avons le plus d’effets.

Deuxièmement, les lignes directrices en sont venues à glorifier les marqueurs de substitution et à valoriser leur atteinte au détriment des soins centrés sur le patient20. Ces seuils que nous visons, et qui nous incitent à reprocher à nos patients de ne pas les atteindre, ne sont souvent pas réalisables, même avec la prise en charge la plus rigoureuse qui soit21. Cette situation a contribué à des soins devenus fastidieux22. Pour certains problèmes, nos soins peuvent réduire la qualité de vie de manière semblable à l’angine ou à un faible AVC23.

Sans aucun doute, certains lecteurs présumeront que je n’ai pas l’esprit d’équipe et que j’omets d’apprécier à leur juste valeur les habiletés et les connaissances de nos collègues spécialistes. En réalité, je valorise grandement leur assistance. Dans les soins aux patients, surtout ceux dont le problème ou ses présentations étaient inhabituels, je leur ai été exceptionnellement reconnaissant de leurs conseils et de leur aide. Dans mes travaux de recherche et de rédaction, j’ai trouvé leurs réflexions et leurs opinions très utiles. Toutefois, cela ne justifie pas la rédaction de lignes directrices en soins primaires dominée par des spécialistes pour des problèmes et des dépistages courants. Je ne propose pas que nous abandonnions notre relation avec nos collègues spécialistes, seulement que nous abandonnions les lignes directrices dominées par des spécialistes, que nous commencions à produire nos propres guides de pratique sous la direction de cliniciens en soins primaires et que ces derniers forment la majorité des collaborateurs24. En comparaison de nos collègues spécialistes, les médecins de soins primaires peuvent examiner les données probantes au moins aussi bien, ont moins de conflits d’intérêts et comprennent bien mieux leur application en soins primaires.

Alors, armé de cette information, que doit faire un clinicien rationnel en soins primaires? Je crois que nous avons l’obligation de changer la situation actuelle en ce qui concerne nos lignes directrices. Nos dirigeants, le Collège des médecins de famille du Canada et les sections provinciales devraient commencer à indiquer qu’ils ne donneront pas leur aval à des lignes directrices ciblant les soins primaires à moins que leur rédaction soit dirigée par des médecins de soins primaires et que leur représentation au sein des comités soit raisonnable et proportionnelle. Parmi les autres aspects essentiels dans les guides de pratique, il doit y avoir une limite (disons < 25 %) dans le nombre de membres du comité ayant des conflits d’intérêts, et l’examen des données probantes doit être rigoureux et détaillé. Les médecins de famille exerçant des rôles administratifs devraient remettre en question toutes les tentatives par des administrateurs et des bureaucrates d’incorporer des recommandations de lignes directrices sous la direction de spécialistes dans les mesures du rendement selon lesquelles nous (et nos patients) sommes jugés et récompensés. Enfin, nous, en première ligne, devons reconnaître les nombreuses faiblesses de nos guides de pratique actuels, accorder la priorité à nos patients (avant les seuils absurdes et inaccessibles et les soins contraignants) et préconiser à chaque occasion nos propres lignes directrices et indicateurs de rendement.

Notes

CONCLUSIONS FINALES — OUI

G. Michael Allan MD CCFP

  • Les médecins de famille prodiguent 68 % de tous les soins au Canada mais ne sont représentés qu’à 17 % parmi les collaborateurs qui rédigent leurs propres lignes directrices en soins primaires.

  • Les lignes directrices sont devenues fastidieuses pour les patients et pour s’y conformer, il faudrait à un médecin de famille y consacrer 18 heures de chaque journée de travail.

  • Les médecins de famille obtiennent d’excellents résultats en matière de santé, sont moins susceptibles d’avoir des affiliations avec l’industrie et pourraient avoir moins de partialité dans leur interprétation des données probantes.

  • À la défense des soins primaires, il est temps que les médecins de famille exercent un rôle dominant de leadership dans la production de leurs propres lignes directrices en soins primaires.

Footnotes

  • This article is also in English on page 705.

  • Les parties à ce débat contestent les arguments de leur opposant dans des réfutations accessibles à www.cfp.ca. Participez à la discussion en cliquant sur Rapid Responses à www.cfp.ca.

  • Intérêts concurrents

    Aucun déclaré

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Canadian Family Physician: 62 (9)
Canadian Family Physician
Vol. 62, Issue 9
1 Sep 2016
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