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Que faut-il pour être un bon médecin généraliste?

David White
Canadian Family Physician March 2017, 63 (3) 254;
David White
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De temps à autre, je dis que je suis médecin généraliste. Bien entendu, au Canada, nous nous appelons médecins de famille. Même si le terme « médecin généraliste » était déjà perçu comme démodé lorsque je suis entré à la faculté de médecine dans les années 1970,1 c’est le terme qu’utilise de nombreuses organisations membres de WONCA et l’Organisation mondiale des médecins de famille.2 Quoi qu’il en soit, quand je me dis médecin généraliste, ce n’est pas seulement par solidarité avec mes collègues du monde entier. C’est parce que le généralisme est un aspect essentiel des soins primaires ; le type de soins dont nos patients et nos communautés ont besoin. Effectivement, l’ensemble du système des soins repose sur des soins primaires solides, et le bon médecin généraliste, en est un élément crucial.

Que faut-il pour être un bon médecin généraliste ? Comme pour toute question qui paraît simple, il y a de nombreuses façons de l’aborder. Les orientations ne manquent pas : les 4 principes de la médecine familiale sont l’assise de notre discipline ; les rôles CanMEDS-Médecine familiale fournissent un cadre de compétences3,4 ; nos programmes de formation ont tous des objectifs ; et nos ordres des médecins ont des exigences et des politiques.

On sait reconnaître un bon médecin généraliste lorsqu’on en voit un : un collègue que nous admirons, un grand professeur, ou un modèle de comportement. On peut même reconnaître en soi un bon médecin généraliste les jours où nous sommes au sommet de notre forme : centré sur le patient, médicalement bien avisé ; orienté vers le contexte, la famille et la communauté ; excellent collaborateur et défenseur…

Le Dr Ian McWhinney, souvent reconnu comme le père de la médecine familiale, était l’un des penseurs les plus éclairés sur le généralisme en médecine.5 Dans son ouvrage intitulé Textbook of Family Medicine, Dr McWhinney encadre le généralisme en tant que principe : « Les médecins de famille sont engagés envers la personne plutôt qu’envers un corpus de connaissance particulier, un groupe de maladies ou une technique spéciale ».6 Pour le Dr McWhinney, le généralisme du médecin de famille incorporait la prise en compte du contexte du patient dans la famille, la communauté et la société.

J’ai importuné plusieurs de mes partenaires de pratique avec cette question. Je dis bien « importuné », car nous étions au beau milieu de la clinique et chacun faisait de son mieux pour être un bon médecin généraliste pour ses patients. Leurs réponses ont élargi le cadre. Oui, nous sommes capables de faire tout ça, mais sommes-nous également en mesure de mener une vie équilibrée, de prendre soin de nous-mêmes et de ceux qui nous entourent ? Qu’en est-il du contexte ? Un bon médecin généraliste requiert une équipe : de bons partenaires médicaux, un excellent personnel administratif, une équipe interprofessionnelle de soins primaires (idéalement), des collègues spécialistes et des hôpitaux réceptifs, un système de santé de qualité et des communautés saines.

Pourquoi cette question prend-elle autant de place ? C’est parce qu’à l’heure actuelle, on exerce de fortes pressions sur nous en tant que généralistes, sur nos programmes de formation, sur le financement de tous les aspects de la prestation des soins et de la formation des futurs praticiens.7 Notre Collège reconnaît les médecins de famille qui ont acquis des compétences et des connaissances additionnelles pour répondre aux besoins de leurs communautés, en attribuant des certificats de compétence additionnelle dans cinq grands domaines.8 Malgré cela, certains craignent que la spécialisation dans les domaines de la médecine familiale ne mène à l’implosion de notre discipline. Parallèlement, d’autres médecins de famille ayant des pratiques ciblées pourraient se sentir moins bien accueillis par ceux qui offrent des soins complets, globaux et continus.

En tant que médecin qui, au cours de ma vie en pratique, a fourni des soins d’urgence, obstétriques et hospitaliers, a visité des patients à domicile, a assisté en salle d’opération, et qui a même pratiqué l’anesthésie en médecine générale, j’ai l’impression que ce qui unit les médecins de famille dans tous ces contextes et toutes ces activités, c’est l’engagement envers la personne, la prise en compte du contexte, l’orientation vers la prévention, et un penchant naturel pour le travail d’équipe. Cette approche généraliste est d’autant plus importante que la spécialisation en médecine se resserre de plus en plus.9

Ce qui me donne de l’espoir dans tout cela, c’est la force et l’engagement de tant d’excellents médecins de famille dans tout le pays, qui travaillent fort chaque jour afin d’être de bons médecins généralistes.

Footnotes

  • This article is also in English on page 253.

  • Références à la page 253

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Canadian Family Physician: 63 (3)
Canadian Family Physician
Vol. 63, Issue 3
1 Mar 2017
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