Les Premières Nations éloignées n’ont pas de pharmaciens locaux, et les infirmières de Santé Canada ont reçu la directive de ne fournir qu’une assistance minimale aux programmes de traitement communautaires. Nous avons formé des membres non professionnels des collectivités à offrir une thérapie en observation directe, et ils sont responsables de faire le suivi de la buprénorphine-naloxone. Si cette pratique se répandait dans tout le pays, de nombreuses collectivités auraient accès à une thérapie de remplacement des opioïdes, et il y aurait moins de décès par surdose.
Footnotes
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