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Principes de base de la chimiothérapie à l’intention des médecins de famille

Anna N. Wilkinson and Nureen Sumar
Canadian Family Physician January 2022, 68 (1) e5-e9; DOI: https://doi.org/10.46747/cfp.6801e5
Anna N. Wilkinson
Professeure adjointe au Département de médecine familiale de l’Université d’Ottawa (Ontario), médecin de famille dans l’Équipe universitaire de santé familiale d’Ottawa, oncologue en pratique générale au Centre de cancérologie de l’Hôpital d’Ottawa, directrice du programme d’oncologie en troisième année de résidence en médecine familiale, présidente du Groupe d’intérêt des membres sur les soins aux patients atteints du cancer du Collège des médecins de famille du Canada et responsable régionale des soins primaires pour le cancer de la région de Champlain.
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Nureen Sumar
Professeure adjointe au Département de médecine familiale de l’Université d’Ottawa (Ontario), médecin de famille dans l’Équipe universitaire de santé familiale d’Ottawa, oncologue en pratique générale au Centre de cancérologie de l’Hôpital d’Ottawa, directrice du programme d’oncologie en troisième année de résidence en médecine familiale, présidente du Groupe d’intérêt des membres sur les soins aux patients atteints du cancer du Collège des médecins de famille du Canada et responsable régionale des soins primaires pour le cancer de la région de Champlain.
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Malgré l’explosion de thérapies novatrices contre le cancer, la chimiothérapie demeure le pilier des traitements du cancer. Les médecins de famille apprennent peu sur la chimiothérapie durant leur formation, mais ils sont souvent appelés à prendre en charge les toxicités de ces traitements chez leurs patients1. Cet article d’ « Oncologie en bref » résume les éléments essentiels de la chimiothérapie à l’intention des médecins de famille.

Aperçu

Tous les médicaments de chimiothérapie fonctionnent en réduisant la croissance et la prolifération des cellules. Les mécanismes d’action de ces médicaments varient, cependant, allant d’une inhibition concurrentielle des liaisons transversales des protéines de l’ADN au blocage des enzymes impliquées dans la réplication de l’ADN (p. ex. topoisomérase), en passant par l’entrave à la formation de fuseaux et de microtubules (Figure 1)2,3. Le manuel des médicaments contre le cancer de la Colombie-Britannique (en anglais) est une excellente source d’information sur les médicaments de chimiothérapie (http://www.bccancer.bc.ca/health-professionals/clinical-resources/cancer-drug-manual).

Figure 1.
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Figure 1.

Mécanismes d’action de divers médicaments de chimiothérapie

Intention de la chimiothérapie

Le mot adjuvant est utilisé couramment en oncologie et signifie un ajout au traitement définitif (p. ex. chirurgie, radiothérapie). Dans une perspective curative, un traitement néoadjuvant est utilisé pour baisser le stade (p. ex. réduire les cancers à un stade moins avancé et plus facilement traitable) ou rendre les cancers plus aisément opérables avant la thérapie définitive. Un traitement concurrent est administré pour améliorer la radiosensibilité durant la radiothérapie. Une thérapie adjuvante sert à éradiquer la maladie microscopique après le traitement définitif2.

La chimiothérapie palliative est un traitement non curatif qui vise à réduire le fardeau lié à la tumeur, et à améliorer la durée et la qualité de vie. La chimiothérapie palliative se distingue de la chimiothérapie curative en ce sens que le nombre de cycles n’est pas fixe4. L’efficacité d’une chimiothérapie palliative est évaluée à l’aide de la tomodensitométrie afin de restadifier périodiquement le cancer, de concert avec la surveillance de l’état clinique et des marqueurs biochimiques, le cas échéant. Un déclin inexpliqué dans l’état clinique devrait inciter à procéder à des investigations de restadification pour évaluer la progression. Les patients peuvent suivre la thérapie pendant des mois ou des années, et changer de régime lorsque la maladie progresse, puis arrêter lorsqu’ils se sentent trop mal ou ont décidé de ne plus suivre de traitement, ou encore, qu’il n’existe plus d’options thérapeutiques. La toxicité du traitement doit tenir compte des objectifs de la thérapie : par exemple, une plus grande toxicité avec une efficacité accrue peut être acceptable dans une perspective curative, mais inacceptable à des fins palliatives, lorsque la qualité de vie est d’une importance primordiale.

Considérations pratiques

L’efficacité de la chimiothérapie s’accroît proportionnellement à la dose; par ailleurs, étant donné que ces médicaments s’attaquent tous rapidement aux cellules qui se divisent, les doses sont limitées par la quantité de dommages causés aux tissus normaux, surtout les cellules hématologiques. En administrant la chimiothérapie par cycles, l’intensité de la dose peut être maintenue, en donnant à la moelle osseuse le temps de se rétablir entre les traitements. La durée des cycles varie habituellement entre 14 et 28 jours, et le nadir prévu dans les décomptes de neutrophiles se produit 7 à 14 jours après le traitement5. La combinaison de médicaments chimiothérapeutiques ayant différents mécanismes d’action a un effet synergique et peut permettre l’administration de doses plus faibles de médicaments, sans que les cellules cancéreuses développent une plus grande résistance (Tableau 1)6,7.

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Tableau 1.

Régimes de chimiothérapie utilisés pour des cancers communs

Bien que de nombreuses chimiothérapies soient administrées par perfusion de bolus intraveineux, le 5-fluorouracile (5-FU) peut aussi être administré par perfusion continue sur 48 heures. Divers agents chimiothérapeutiques, comme la capécitabine (qui est métabolisée en 5-FU) et l’étoposide, sont pris par voie orale7. Il y a lieu d’envisager d’utiliser un accès veineux central, comme un port ou un cathéter central inséré en périphérie, si la chimiothérapie est un vésicant (p. ex. doxorubicine, épirubicine, vinorelbine et vincristine)8.

Les résultats de l’analyse sanguine sont vérifiés avant chaque cycle de chimiothérapie, et on peut procéder au traitement si la numération globulaire est appropriée. Si les patients tolèrent mal le traitement ou si leur numération globulaire ne revient pas à la normale avant le prochain cycle de traitement, on peut envisager de réduire les doses ou de retarder le cycle, selon l’urgence de traiter avec des doses optimales. Dans une perspective curative, lorsqu’il est essentiel de maintenir l’intensité des doses et de respecter le calendrier, on peut administrer un facteur stimulant les colonies de granulocytes après chaque cycle pour stimuler la moelle osseuse afin d’augmenter la production de neutrophiles et de prévenir une neutropénie fébrile9. Les patients doivent avoir un état de rendement suffisant pour tolérer la chimiothérapie, ce qui signifie, en pratique, qu’ils sont assez bien pour ne pas être alités au moins 50 % du temps ou qu’ils sont au grade 2 de l’ECOG (Eastern Cooperative Oncology Group) (Tableau 2)10.

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Tableau 2.

Échelle de performance ECOG

Les soignants et les patients doivent traiter les liquides corporels comme étant cytotoxiques, et porter des gants s’ils manipulent des vomissements, des selles ou de l’urine durant les 48 premières heures suivant le traitement. Durant cette période, les patients devraient s’asseoir pour uriner et fermer le couvercle de la toilette avant de tirer la chasse d’eau pour éviter des éclaboussures de liquides corporels11. Il faut toujours utiliser des contraceptifs. Comme on ne sait trop si les médicaments chimiothérapeutiques peuvent passer dans le sperme, les sécrétions buccales ou vaginales durant des activités sexuelles, il est conseillé d’utiliser des méthodes de protection jusqu’à 7 jours après le dernier traitement de chimiothérapie12.

Prise en charge des toxicités aiguës

Une myélosuppression se produit avec la plupart des médicaments chimiothérapeutiques, et elle se manifeste cliniquement sous forme de fatigue, de dyspnée, de saignements et d’infections. D’autres toxicités aiguës sont spécifiques au médicament en cause (Tableau 3, Figure 2)2,13. Les toxicités des chimiothérapies sont classées sur une échelle de 1 (légère) à 5 (liée au décès)14. Les patients qui doivent être hospitalisés ont généralement des réactions de grade 3 ou 4.

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Tableau 3.

Toxicités aiguës courantes de la chimiothérapie selon le médicament

Figure 2.
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Figure 2.

Schéma des lieux les plus communs des toxicités de certains médicaments de chimiothérapie

Les agents utilisés en chimiothérapie sont catégorisés comme ayant un potentiel émétisant d’élevé à faible, et il est démontré qu’ils causent de la nausée d’anticipation, aiguë ou à retardement (jour 2 à 5 après le traitement)15. Des antiémétiques ciblent les récepteurs neurotransmetteurs impliqués dans la provocation des vomissements. Un régime antiémétique efficace en prophylaxie combinant 4 médicaments est recommandé chez les patients qui reçoivent des médicaments fortement émétisants : un antagoniste des récepteurs des neurokinines-1 (p. ex. aprépitant), un antagoniste des récepteurs 5-HT3 (p. ex. ondansétron), un antagoniste de la dopamine (p. ex. olanzapine) et de la dexaméthasone16,17. Une hydratation par intraveineuse est un adjuvant utile pour les patients souffrant de nausée immédiate. La nausée à retardement peut être soulagée en prolongeant la durée de la dexaméthasone, et les anxiolytiques sont efficaces pour la nausée anticipée. Les professionnels doivent savoir que les antagonistes des récepteurs 5-HT3 causeront beaucoup de constipation.

Une neuropathie périphérique induite par la chimiothérapie (NPIC) se produit avec l’oxaliplatine, le docétaxel et le paclitaxel, qui sont des traitements courants pour le cancer du côlon et du sein18. La neuropathie périphérique induite par la chimiothérapie se manifeste sous la forme de symptômes sensoriels mains-pieds, et cause une déficience dans les tâches motrices fines et la stabilité de la démarche. Il importe de reconnaître rapidement une NPIC et d’ajuster la dose de la chimiothérapie, parce qu’une fois présente, cette neuropathie n’est que partiellement réversible. Le seul traitement dont les bienfaits sont étayés par des données probantes pour la NPIC est la duloxétine, bien qu’on puisse essayer les gabapentinoïdes et les antidépresseurs tricycliques19,20.

La capécitabine ou les 5-FU peuvent causer une inflammation et une ulcération dans tout le tractus gastro-intestinal. Dans la bouche, cette réaction se présente sous forme de mucosite, qui cause de la douleur et une réduction de l’apport alimentaire pouvant entraîner une déshydratation et un risque accru de batériémie21. L’entérite, ou l’inflammation du petit intestin, cause une diarrhée aqueuse, d’où un appauvrissement en liquides et en électrolytes. L’irinotécan cause aussi de la diarrhée en raison de dommages directs aux muqueuses. Lorsque d’autres causes, comme une infection, des laxatifs ou une obstruction intestinale partielle, ont été exclues, des thérapies pour les symptômes peuvent être utilisées. La prise en charge de la mucosite et de la diarrhée, fondée sur les lignes directrices d’organisations spécialisées en cancer, est présentée au Tableau 421-25.

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Tableau 4.

Prise en charge de la mucosite et de la diarrhée liées à la chimiothérapie

Conclusion

Ce bref aperçu de la chimiothérapie fournit aux médecins de famille des outils pour mieux comprendre les traitements contre le cancer de leurs patients et y participer. La compréhension des considérations pratiques de l’administration de la chimiothérapie et de la prise en charge des toxicités courantes qu’elle provoque permettra aux médecins de soins primaires de mieux soutenir leurs patients et de traiter efficacement les possibles effets secondaires des traitements contre le cancer.

Footnotes

  • Intérêts concurrents

    Aucun déclaré

  • Cet article donne droit à des crédits d’autoapprentissage certifiés Mainpro+. Pour obtenir des crédits, allez à www.cfp.ca et cliquez sur le lien vers Mainpro+.

  • The English version of this article is available at www.cfp.ca on the table of contents for the January 2022 issue on page 30.

  • Copyright © 2022 the College of Family Physicians of Canada

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