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Research ArticlePrévention en pratique

À l’encontre du statu quo en matière de dépistage

Appel à l’action pour améliorer l’enseignement des soins de santé préventifs

Viola Antao, Roland Grad, Guylène Thériault, James A. Dickinson, Olga Szafran, Harminder Singh, Raphael Rezkallah, Earle Waugh and Neil R. Bell
Canadian Family Physician May 2022, 68 (5) e140-e145; DOI: https://doi.org/10.46747/cfp.6805e140
Viola Antao
Professeure agrégée au département de médecine familiale et communautaire à l’Université de Toronto (Ontario).
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  • For correspondence: viola.antao@utoronto.ca
Roland Grad
Professeur agrégé au département de médecine familiale à l’Université McGill à Montréal (Québec).
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Guylène Thériault
Directrice du volet Rôle du médecin et directrice du centre de pédagogie au Campus Outaouais de la Faculté de médecine de l’Université McGill.
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James A. Dickinson
Professeur au département de médecine familiale et au département des sciences de santé communautaire à l’Université de Calgary (Alberta).
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Olga Szafran
Directrice adjointe de recherche au Département de médecine familiale de l’Université de l’Alberta à Edmonton.
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Harminder Singh
Professeur agrégé au département de médecine interne et au département des sciences de santé communautaire à l’Université du Manitoba à Winnipeg et au département d’hématologie et d’oncologie médicale à ActionCancer Manitoba; il est également scientifique adjoint à l’Institut de recherche d’ActionCancer Manitoba.
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Raphael Rezkallah
Étudiant en médecine à l’Université McGill.
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Earle Waugh
Professeur émérite et directeur émérite du centre de santé et de culture du département de médecine familiale de l’Université de l’Alberta.
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Neil R. Bell
Professeur au département de médecine familiale à l’Université de l’Alberta.
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Dans le cadre des soins de santé préventifs, le dépistage est complexe, et il est particulièrement difficile d’enseigner ces compétences. De nombreux facteurs influent sur la façon dont les enseignants cliniques choisissent d’enseigner cette matière. Des programmes provinciaux de dépistage s’adressant directement aux patients, ainsi que du temps et des ressources cliniques limités, font qu’il est facile d’adopter une approche réflexe et de soumettre au dépistage tous ceux qui sont admissibles. Mais est-ce la meilleure approche? L’allongement perçu des listes d’attente pour le dépistage durant la pandémie de COVID-19 est l’occasion d’améliorer notre approche et de mieux comprendre les limites du dépistage.

Depuis 10 ans, on reconnaît de plus en plus qu’il existe des bienfaits et des préjudices liés au dépistage. De nombreux médecins, étudiants en médecine et patients continuent toutefois de croire que, pour une grande proportion de la population, les dépistages recommandés permettent un diagnostic et un traitement précoces, et préviennent les décès prématurés. Bien que cette croyance persiste depuis longtemps parmi les médecins et les patients, les données probantes en matière de dépistage laissent maintenant croire que ces bienfaits seraient moins importants qu’on le croyait1-3. De plus, on comprend beaucoup mieux les préjudices liés au dépistage, notamment le surdiagnostic, les faux positifs et les examens excessifs1. Malgré cette reconnaissance, la connaissance du public est minimale, et les patients ne sont pas au courant de ces préjudices potentiels, même dans les populations qui sont soumises régulièrement au dépistage4,5. Les difficultés du dépistage sont amplifiées par des recommandations contradictoires dans les lignes directrices, par de puissants groupes de patients et de professionnels qui plaident en faveur d’interventions de dépistage spécifiques, et par la pléthore d’information de qualité variable provenant des médias sociaux6.

De nombreux médecins, autres professionnels de la santé et apprenants n’ont pas les connaissances et compétences nécessaires liées aux défis du dépistage. On note chez plusieurs un manque en matière de pensée critique, de littératie statistique ou de capacités de communication qui sont nécessaires pour comprendre et pour expliquer efficacement aux patients les bienfaits et les préjudices liés au dépistage7-12. Des données démontrent que l‘enseignement de la médecine factuelle qui a lieu depuis au moins 30 ans n’a pas vraiment porter fruit. Les patients ont également de la difficulté à comprendre l’information sur les bienfaits et les préjudices des interventions de santé. On estime que les compétences en littératie et en numératie concernant la santé sont insuffisantes chez plus de 50 % des Canadiens, ce qui rend particulièrement difficiles la communication et la compréhension des questions relatives à la santé13.

Ceci est un appel à l’action pour rehausser la formation des médecins, des autres professionnels de la santé et des apprenants sur les concepts et les compétences nécessaires pour optimiser leurs façons d’optimiser les issues cliniques liées au dépistage. Le scénario clinique ci-dessous donne des exemples de problèmes que les médecins peuvent rencontrer dans ce contexte et permet au lecteur de réfléchir sur ses propres compétences en la matière.

Description du cas

Bara est une femme de 54 ans qui fréquente votre pratique depuis plusieurs années. Elle a récemment reçu une lettre du programme provincial de dépistage du cancer du sein indiquant qu’elle est en retard pour sa mammographie de dépistage du cancer du sein. Bara n’a pas d’antécédents familiaux de cancer du sein, mais elle s’inquiète beaucoup, car une de ses bonnes amies a récemment reçu un diagnostic de cancer du sein. Son amie a bien répondu au traitement et est convaincue que c’est principalement grâce au diagnostic précoce qu’elle a reçu après une mammographie. Bara est choquée de n’avoir pas reçu plus tôt une recommandation pour mammographie et qu’on ne lui ait pas dit qu’elle devait subir une mammographie de dépistage tous les ans. Bara aimerait une consultation urgente avec vous pour discuter d’une recommandation pour mammographie.

Vous réfléchissez à la visite imminente de Bara et à l’information dont vous avez besoin pour avoir une discussion éclairée. Vous réfléchissez également à la meilleure façon d’en parler, puisque Bara a demandé d’être dépistée plus fréquemment que recommandé. De quelles informations et de quels outils sur les bienfaits et les préjudices potentiels de la mammographie allez-vous avoir besoin? Qu’allez-vous faire? Les questions cliniques et ce que l’on doit enseigner en lien avec les inquiétudes de Bara se trouvent au Tableau 113-17.

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Tableau 1.

Exemples de problèmes cliniques et éducatifs découlant des inquiétudes de la patiente

Quels facteurs doivent être abordés pour améliorer les compétences fondamentales en dépistage?

L’approche actuelle du dépistage prend souvent la forme d’une liste de vérification simple et linéaire. En réalité, les soins préventifs sont un processus adaptatif complexe faisant intervenir le médecin, le patient et les facteurs environnementaux18. Il y a plusieurs facettes à cette complexité, soit les difficultés à comprendre les concepts de base du dépistage, le fait que les valeurs et les préférences du patient soient souvent exclues de la décision, la mésinformation sur les médias sociaux, ainsi que la multiplicité des lignes directrices et l’incapacité d’y réfléchir de manière critique. Les conflits d’intérêts, le manque de connaissances ou l’absence de rigueur dans les données probantes étayant les recommandations perpétuent la confusion. Cette confusion contribue à l’application inappropriée et irrégulière des recommandations19.

De nombreuses provinces ont adopté la communication et les avis directs aux patients pour le dépistage des cancers du sein, du col de l’utérus et colorectal20. Les services de dépistage offerts directement aux patients ne tiennent pas en compte les circonstances particulières de chaque patient, leur compréhension des soins préventifs, qui peuvent parfois être fondés sur les mythes véhiculés par les médias sociaux. De plus, ils ne permettent pas de saisir l’occasion de corriger des facteurs de risque modifiables qui contribuent à la maladie21,22. Cet échec est amplifié à l’interface enseignant clinique-apprenant-patient car des facteurs tels que le manque de temps, le manque de littératie statistique11, le manque d’esprit critique10,12, la peur d’omettre un diagnostic, la peur de répercussions juridiques et les préférences perçues des patients (de faire le test juste pour être sûr) viennent tous compliquer le processus de décision relatif au dépistage pour le médecin et les apprenants.

Les médecins, les étudiants en médecine et les patients comprennent tous différemment les concepts clés du dépistage, ce qui complique la prise de décisions appropriées et éclairées23,24. Il importe de réaffirmer que les lignes directrices relatives au dépistage ne sont pas des règles, et qu’il faut bien comprendre les données probantes qui les étayent pour les utiliser correctement. Les compétences en pensée critique sont la clé pour comprendre comment communiquer le dépistage aux patients (à l’aide de matériel infographique et d’outils d’aide à la décision) dans le cadre d’une prise de décision partagée2,25,26.

Comment améliorer les compétences des médecins en matière de dépistage?

Les médecins et les autres professionnels de la santé font face à deux principaux défis dans leur quête d’améliorer leurs connaissances et leurs compétences afin de promouvoir des dépistages plus appropriés. Le premier défi est l’élaboration du contenu éducatif en lien avec les concepts clés relatifs au dépistage (Tableau 2)21,27-29. La série Prévention en pratique publiée dans Le Médecin de famille canadien fournit du contenu utile aux médecins et aux autres professionnels de la santé25,30. Un article à paraître dans cette série traitera des compétences nécessaires pour le dépistage. Le deuxième défi est l’élaboration de stratégies éducatives visant à placer l’enseignement et l’adoption de ces concepts au cœur de la formation médicale chez les étudiants en médecine, les résidents et les cliniciens. Les médecins de famille et les autres éducateurs en santé doivent bien réfléchir à la meilleure façon d’enseigner ces compétences et de les intégrer dans la pratique quotidienne. Le Tableau 3 présente quelques exemples de la façon dont cela pourrait se concrétiser10. Des stratégies éducatives sont nécessaires, mais en soi, elles ne suffisent pas. Le fait de savoir quelque chose ne se traduit pas toujours par la mise en application. Il faut réfléchir aux leçons que l’échec de l’enseignement de la médecine factuelle nous a apprises9-11. Pour être efficaces, les changements doivent avoir lieu à l’échelle du système et s’aligner aux stratégies éducatives suggérées au Tableau 310 afin d’aider les enseignants cliniques, les apprenants et les patients à mieux comprendre le dépistage7,8,25,31.

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Tableau 2.

Facteurs qui contribuent au besoin d’améliorer l’enseignement des soins de santé préventifs

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Tableau 3.

Stratégies pour améliorer l’éducation en soins de santé préventifs

Résolution du cas

En préparation pour la visite de Bara, vous lisez les lignes directrices du Groupe d’étude canadien sur les soins de santé préventifs (GECSSP), qui recommandent le dépistage du cancer du sein tous les 2 à 3 ans, par mammographie14. Vous constatez qu’elles ne donnent pas beaucoup de détails sur les raisons pour lesquelles cet intervalle est recommandé. Vous lisez aussi une étude de modélisation américaine qui a comparé différents intervalles de dépistage32.

Bara se présente à votre bureau quelques jours plus tard. Vous revoyez avec elle les lignes directrices nationales qui recommandent une mammographie de dépistage du cancer du sein tous les 2 ou 3 ans. Elle n’est toujours pas convaincue; sur Internet, elle a trouvé des recommandations d’organisations professionnelles et d’autres groupes qui recommandent le dépistage annuel. Vous prenez acte de ses inquiétudes et lui indiquez que vous savez qu’il existe différentes recommandations sur le dépistage du cancer du sein. Même si vous soulevez la question des préjudices liés au dépistage, Bara répond que selon elle « c’est logique » que le dépistage plus fréquent ait une meilleure chance de découvrir le cancer du sein précocement. Vous admettez qu’il semble logique que le dépistage plus fréquent découvre plus de cas; la question est de savoir quelle différence cela aura sur la vie d’une patiente par rapport aux préjudices plus nombreux qui peuvent survenir. Vous parlez de l’information trouvée dans l’outil d’aide à la décision du GECSSP. Elle a de la difficulté à comprendre le concept de surdiagnostic, alors vous vous efforcez de le lui expliquer. Après votre conversation, Bara souhaite toujours avoir le dépistage annuel.

Vous remettez à Bara un formulaire de demande de mammographie et un exemplaire du matériel infographique du GECSSP, puis vous l’invitez à parler de son désir d’obtenir le dépistage annuel l’an prochain. Après la visite, vous demeurez perplexe; vous vous demandez pourquoi les recommandations des lignes directrices diffèrent, et vous vous demandez si vous auriez pu faire mieux pour communiquer à Bara les bienfaits et préjudices.

Appel à l’action

Les enseignants cliniques, les apprenants, les sociétés professionnelles qui rédigent les lignes directrices33,34, les agences de dépistage et les établissements universitaires doivent repenser l’approche optimale face au dépistage. Ce changement doit être réalisé à partir du premier cycle en médecine jusqu’à la formation professionnelle continue, de même qu’auprès de tous les intervenants, patients et institutions. C’est le moment d’aller à contre-courant, et de repenser notre approche de l’enseignement et de la communication de l’information sur la prévention et le dépistage, et de veiller à ce que cette information comprenne une bonne compréhension de la complexité, des concepts fondamentaux et des pratiques exemplaires.

Notes

Points de repère

▸ Depuis 10 ans, les décisions en matière de dépistage sont plus complexes, car nous en comprenons mieux les bienfaits et les préjudices potentiels. Certaines personnes et certains groupes ont des idées bien ancrées et défendent le dépistage, ce qui amplifie le besoin de comprendre les valeurs et les préférences des patients, et en tenir compte dans les décisions en matière de dépistage.

▸ Beaucoup de médecins, d’autres professionnels de la santé et d’apprenants trouvent difficile de séparer le vrai du faux en matière de dépistage, car il y a beaucoup d’information contradictoire et trompeuse.

▸ Dans la plupart des décisions en matière de dépistage il y a un équilibre entre les préjudices et les bienfaits potentiels.

▸ Les médecins devraient comprendre les données probantes et les communiquer en utilisant des outils de décision partagée afin d’en arriver à une décision en matière de dépistage qui soit basée sur les valeurs et les préférences de leur patient.

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Footnotes

  • Remerciements

    Les auteurs tiennent à remercier le groupe Peer Support Writing Group de l’Hôpital Women’s College à Toronto (Ontario) pour ses commentaires et sa révision.

  • Intérêts concurrents

    Le Dr Harminder Singh a siégé aux conseils consultatifs des sociétés suivantes ou a agi à titre de consultant auprès d’elles : Pendopharm, Amgen Canada, Roche Canada, Sandoz Canada, Takeda Canada et Guardant Health, Inc. Tous les autres auteurs ont confirmé ne pas avoir de conflit d’intérêts.

  • Cet article donne droit à des crédits d’autoapprentissage certifiés Mainpro+. Pour obtenir des crédits, allez à https://www.cfp.ca et cliquez sur le lien vers Mainpro+.

  • Cet article a fait l’objet d’une revision par des pairs.

  • The English version of this article is available at https://www.cfp.ca on the table of contents for the May 2022 issue on page 340.

  • Copyright © 2022 the College of Family Physicians of Canada

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Canadian Family Physician: 68 (5)
Canadian Family Physician
Vol. 68, Issue 5
1 May 2022
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À l’encontre du statu quo en matière de dépistage
Viola Antao, Roland Grad, Guylène Thériault, James A. Dickinson, Olga Szafran, Harminder Singh, Raphael Rezkallah, Earle Waugh, Neil R. Bell
Canadian Family Physician May 2022, 68 (5) e140-e145; DOI: 10.46747/cfp.6805e140

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Canadian Family Physician May 2022, 68 (5) e140-e145; DOI: 10.46747/cfp.6805e140
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