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Research ArticleÉditorial

Repenser l’indice de masse corporelle

Sarah Fraser
Canadian Family Physician June 2022, 68 (6) 401; DOI: https://doi.org/10.46747/cfp.6806401
Sarah Fraser
Roles: RÉDACTRICE SCIENTIFIQUE ASSOCIÉE
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Alors qu’elle était à l’hôpital récemment pour une imagerie diagnostique, la Dre Stephanie Hart s’est sentie humiliée. La jaquette et l’appareil d’imagerie étaient trop petits pour son corps. Ce n’était pas la première fois que le système médical la frustrait en raison de sa taille.

Dans un Balado du MFC publié en mars 2022, la Dre Hart décrit son expérience comme médecin de famille obèse1. En plus de discuter de sa singulière histoire personnelle, nous explorons la validité (ou l’absence de validité) de la mesure de l’indice de masse corporelle (IMC), fréquemment utilisée. Inventé durant les années 1830 par le statisticien et polymathe belge Lambert Adolphe Jacques Quetelet, l’IMC est calculé en kilogrammes (de poids corporel) divisés par mètres carrés (de hauteur). Connu initialement sous le nom d’Indice Quetelet, il devait servir dans les études épidémiologiques2. L’expression indice de masse corporelle a été proposée en 1972 par Ancel Keys, un physiologiste américain influent, mais controversé3. Keys avait aussi découvert une association entre le cholestérol et la cardiopathie. Éventuellement, l’industrie des assurances a coopté l’IMC pour déterminer le risque et la couverture des détenteurs de polices, et la mesure est maintenant communément utilisée en médecine familiale.

Aujourd’hui, l’IMC est remis en question en tant qu’indicateur de la santé métabolique4. La Dre Katherine Flegal et ses collègues ont contesté le narratif conventionnel dans une revue systématique publiée dans JAMA, en 20135. Au nombre de leurs constatations figurait le fait que des personnes dont l’IMC les classait dans la catégorie des surpoids avaient une mortalité réduite par rapport à d’autres dont l’IMC était considéré comme normal. Ce sujet fait l’objet de débats houleux, tant dans la communauté scientifique que dans les grands médias6.

Malgré sa validité scientifique questionnable, nous attribuons encore une grande importance à l’IMC. Nous le calculons, nous le traçons sur des graphiques et nous exprimons nos inquiétudes aux patients si leur IMC ne s’inscrit pas dans la « normale ». Nous vérifions régulièrement leur poids et nous leur disons de manger moins et de bouger plus, souvent sans savoir combien inefficaces et mêmes nuisibles ces conseils peuvent être. De fait, la pathologisation des corps plus gros peut être en elle-même la cause d’effets néfastes pour la santé. Par exemple, il est moins probable que les femmes jugées obèses fassent l’objet d’un test de Papanicolaou que celles qui ne le sont pas7. Les questions suivantes se posent : les cancers associés à l’obésité sont-ils secondaires à une adiposité accrue? Ou encore, les personnes plus corpulentes ont-elles des taux de dépistage moins élevés parce qu’elles se sentent jugées ou dégradées lorsqu’elles demandent des tests et que parfois même, elles les évitent?

La révision clinique du mois se penche sur un autre problème de santé stigmatisant : le trouble de l’accès hyper-phagique (page 422)8. L’article présente des outils dont les médecins de famille peuvent se servir pour les aider à traiter des patients souffrant de ce problème commun et pourtant sous-diagnostiqué. Les patients ayant un trouble de l’accès hyperphagique peuvent aussi être obèses, mais pas nécessairement. Si nous abordons l’accès hyperphagique et l’IMC dans le même éditorial, il peut sembler que ces 2 problèmes se classent dans la même catégorie. Ce n’est pas le cas. Alors que l’IMC est une mesure erronée pour évaluer les risques pour la santé, le trouble de l’accès hyperphagique est une manifestation physique d’une souffrance psychologique reconnue dans la 5e édition du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux.

L’obésité en tant que concept est plus facile à démanteler. Des interventions directes, comme des chaises, des jaquettes et des équipements diagnostiques de taille appropriée pourraient contribuer grandement à ce que les patients plus corpulents se sentent plus à l’aise et accèdent ainsi plus probablement aux soins de santé lorsqu’ils en ont besoin. Les troubles alimentaires sont toutefois souvent le résultat d’un traumatisme9. Si les causes des problèmes de l’alimentation sont plus vastes que les images que nous voyons représentées dans les médias, les messages que les jeunes internalisent en les voyant ont aussi un rôle à jouer10.

En ce sens, l’obésité et le trouble de l’accès hyperphagique ont beaucoup en commun. La quête d’un corps normatif et « parfait » est à la fois nuisible et impossible à atteindre. Il est grand temps de revisiter la façon dont nous considérons le poids et d’arrêter de fixer des normes délétères et irréalistes, tant en médecine que dans la société.

Notes

Pour écouter le balado par les Dres Fraser et Hart en anglais, balayez le code ici.

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Footnotes

  • Les opinions exprimées dans les éditoriaux sont celles des auteurs. Leur publication ne signifie pas qu’elles soient sanctionnées par le Collège des médecins de famille du Canada.

  • This article is also in English on page 399

  • Références à la page 399

  • Copyright © 2022 the College of Family Physicians of Canada
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Canadian Family Physician: 68 (6)
Canadian Family Physician
Vol. 68, Issue 6
1 Jun 2022
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Canadian Family Physician Jun 2022, 68 (6) 401; DOI: 10.46747/cfp.6806401

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