Risque élevé de dépendance (p. ex. antécédents de dépendance) |
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Recourir aux opioïdes seulement si les traitements de première intention ne fonctionnent pas -
Prescrire de petites quantités -
Faire de fréquents DDU -
Utiliser avec prudence l’oxycodone et l’hydromorphone -
Garder la dose bien en deçà d’une DEM de 200 mg/j
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Dépendance actuelle à d’autres substances (p. ex. alcool) |
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Usage abusif suspecté et
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douleur organique exigeant une thérapie aux opioïdes -
le médecin de famille est la seule source d’opioïdes -
ne s’injecte pas ni n’écrase les comprimés -
n’a pas actuellement de dépendance à la cocaïne, à l’alcool ou à d’autres drogues.
| Essai de thérapie structurée aux opioïdes :
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Dispenser fréquemment (chaque jour, aux 2 jours ou 2 fois par semaine) -
DDU réguliers (1 à 4 fois par mois) -
Compter les comprimés ou les timbres -
Passer à une préparation à libération contrôlée -
Éviter la voie parentérale et les agents à action brève -
Envisager de changer à un autre opioïde tout en évitant l’oxycodone et l’hydromorphone -
Baisser la dose si elle excède une DEM de 200 mg/j
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Usage abusif suspecté et
| Traitement à la méthadone ou à la buprénorphine:
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Instaurer une dispensation quotidienne supervisée -
Commencer graduellement à donner des doses à apporter chez soi -
Fréquents DDU -
Offrir du counseling et des soins médicaux
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