McGraw et O’Connor8, 1999 | PS et patients réels |
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Cette étude comparait l’efficacité des PS avec celle des patients réels en tant que ressources éducatives; on a constaté une tendance non significative à une plus grande satisfaction à l’endroit de la rétroaction dans le groupe avec les PS, mais aucune différence significative entre les groupes dans le rendement des étudiants à l’ECOS
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Gilliland et coll.9, 2006 | PS et patients réels hospitalisés |
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Le rendement des étudiants formés avec des PS a été comparé à celui des étudiants formés avec des patients hospitalisés et les auteurs ont signalé que l’utilisation de PS dans des simulations n’était pas un désavantage dans la formation en médecine -
Une étude sur 2 groupes d’étudiants autosélectionnés dans un centre de simulation qui utilisait des PS ou des patients hospitalisés pour enseigner l’anamnèse et les examens physiques n’a constaté aucune différence significative entre les 2 groupes dans les résultats d’ECOS ou aux examens du National Board of Medical Examiners
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Lane et Rollnick10, 2007 | PS |
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La plupart des étudiants disaient de manière uniforme que l’utilisation des PS était utile et bénéfique et avait un effet positif sur l’expérience d’apprentissage -
Seulement 1 étude mentionnait que le recours aux PS avait un effet négatif sur l’apprentissage -
On utilisait le plus souvent des PS pour l’enseignement des habiletés en communication (55 %), suivi par l’enseignement des habiletés cliniques (32 %) et des habiletés dans l’examen physique (17 %)
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Bokken et coll.11, 2008 | PS et patients réels |
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Cette révision examinait 4 études qui évaluaient si des rencontres avec des patients réels étaient comparables à celles avec des PS dans l’enseignement des habiletés cliniques (p. ex. communication, techniques d’entrevues); les études ont conclu que la plupart des rencontres avec des patients réels étaient comparables à celles avec des PS
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May et coll.12, 2009 | PS |
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Clever et coll.13, 2011 | Patients externes bénévoles et PS |
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Le corps professoral préférait les interactions avec des PS, parce qu’elles étaient plus faciles du point de vue d’un précepteur -
Les étudiants en médecine préféraient les interactions avec des patients réels lorsqu’ils apprenaient les habiletés en communication; les étudiants se rappelaient mieux le sujet en cause avec des patients réels parce que les «patients restaient gravés dans leur mémoire»
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