Aucune décision à prendre |
Il n’y a aucune indication valide pour offrir un test diagnostic ou un traitement (p. ex. il ne faut pas offrir l’imagerie aux patients souffrant de lombalgie aiguë sans signes d’alarmes) L’urgence d’agir est claire chez un patient pour lequel les bienfaits surpassent clairement les préjudices possibles (p. ex. angine instable avec taux élevé d’enzymes cardiaques chez un homme de 50 ans par ailleurs en bonne santé) Il n’existe qu’une option thérapeutique et l’option du statu quo serait nuisible (p. ex. réduction et immobilisation d’une fracture) Le patient a déjà indiqué clairement qu’il ou elle ne désire aucune intervention
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Le patient est incapable de prendre part au processus |
Incapable de participer à la décision† (p. ex. démence) Surcharge émotionnelle (p. ex. à l’annonce d’un diagnostic bouleversant) Sous l’effet de substances pouvant altérer le jugement Crise émotionnelle (p. ex. suicidaire)
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L’équilibre entre les bénéfices et les préjudices potentiels n’est pas en équipoise |
La plupart des recommandations fortes en faveur d’une action12 (p. ex. dépistage de l’hypertension chez les personnes d’âge moyen15) Recommandation forte contre l’action12 (p. ex. dépistage de la démence16; dépistage du dysfonctionnement thyroïdien chez les adultes, à l’exception des femmes enceintes17) Quelques recommandations faibles ou conditionnelles en faveur de l’action12 (p. ex. dépistage du tabagisme chez les enfants et les adolescents18)
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